Grève reconductible à la maison départementale de la solidarité de la Belle-de-mai
Les salariés de la maison départementale de la solidarité de la Belle-de-Mai ont entamé ce mercredi matin une grève reconductible. Ils demandent la création de quatre postes à temps plein, comprenant deux assistantes sociales et un professionnel médical, pour remédier à des conditions de travail et d’accueil du public qu’ils jugent dégradées.
Le conseil départemental gère 29 structures de ce type, qui visent à favoriser l’accès aux droits (santé, éducation, insertion…). “On a explosé toutes les statistiques, que ce soit au niveau des difficultés du quartier, de nombre de dossiers suivis, du nombre d’aides sollicitées, du nombre d’enfants placés… et le personnel est débordé. Jusqu’à 150 usagers sont reçus chaque jour”, explique Bruno Bidet, syndicaliste FSU.
Une première rencontre avec le conseil départemental il y a plusieurs semaines n’a pas débouché sur les embauches exigées par les salariés. “La grève est reconductible tant que l’aval pour ces créations de postes ne sera pas donné par la présidente Mme Vassal”, prévient le syndicaliste.
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