Le cabanon illégal de la députée Sylvie Andrieux, dernier survivant de Maldormé
Il était déjà disgracieux, tout de béton, perché sur les rochers au bord de l’eau. Le cabanon de Sylvie Andrieux dans l’ anse de Maldormé est désormais seul après la destruction de trois de ses voisins construits sur le domaine public maritime. La Marseillaise s’intéresse dans son édition du jour au destin de cette villa sur deux étages, propriété de la future ex-deputée.
“Il n’y a pas de traitement privilégié, il n’y a pas deux poids deux mesures sur l’anse de Maldormé. Nous y travaillons depuis 2008, répond au nom de l’État le directeur départemental des territoires et de la mer Gilles Servanton. Personne n’échappera à cette politique en ce point du littoral marseillais.” Selon lui, il n’y aurait que “des difficultés techniques” concernant la démolition de la “Villa Marie Jo” dont les jours semblent comptés. La prochaine vague lui sera fatale.
La députée Sylvie Andrieux, occupante sans droit ni titre du domaine public maritime. A lire demain dans @lamarsweb pic.twitter.com/jnIOM5eV6Z
— David Coquille (@DavidLaMars) December 7, 2016
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Que font les services préfectoraux ? La loi est la loi cf loi littoral, en plus elle ne date pas d’aujourd’hui. Il y a bien eu l’abolition des privilèges au 18e siècle ? Nous sommes bien en 2016 ?
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