Comprendre ce qui fait “bifurquer une trajectoire” pour prévenir l’entrée dans les trafics
La Ville de Marseille organisait ce mercredi 2 juillet les assises de la prévention et de la protection de la jeunesse. L'occasion de faire le bilan sur les moyens de la prévention et de comprendre comment agir pour éviter l'engrenage de l'enrôlement dans les réseaux.
Un jeune guetteur, sur le point de deal de Félix-Pyat. (Photo : B.G.)
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Ah quand même ! On parle enfin des vrais sujets dans l’équipe municipale Marseillaise.
Plus ardu que de déployer des caméras, déployer des services d’animation et de prévention parmi la jeunesse, ça reste une stratégie efficace je pense. Et positive, un mot qu’ on ne devrait pas oublier dans le langage de la sécurité.
ça mériterait peut être un peu plus de sous … Si on puisait un peu dans les budgets “Marseille en Grand” ? La grandeur, c’est peut être ça.
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Remplacer l’appât du gain par l’amour du théâtre. Ou la Force du Destin, entre malédiction et rédemption. Pour ceux qui y croient.
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Et sur le même sujet mais juste un peu plus loin, le CR de Muselier supprime les subventions à des associations qui interviennent sérieusement dans ce domaine.
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Les activites diverses des centres sociaux, les colonies de vacances été/hiver, les équipements sportifs et culturels dans chaque quartier, des conditions de vie décentes pour les parents et leurs enfants, des transports qui permettent de sortir facilement du quartier, des structures pour aider à trouver du travail, ou à poursuivre des études, une formation, des structures de soutien psychologique et social, bref la presence d’adultes et de services au quotidien, un regard social qui ni n’ignore ni ne rejette ces habitants du territoire membres de notre société, la volonté politique qui va avec….
On sait, tout le monde sait, que c’est tout cela qui est nécessaire dans les quartiers pauvres, depuis le XIXe siècle…. mais qui porte encore ce type de projets au niveau national, local ? Quelques élus,et des associations qui font ce qu’ils peuvent avec très peu de moyens.
Tout le reste n’est que mepris social et racisme.
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Pourquoi est-ce du racisme?
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oui, je suis de votre avis MarsKaa. un mépris institutionnel, social et raciste.
mépris à géométrie variable selon le secteur électoral le plus souvent.
on peut ajouter que ces associations qui peinent aujourd’hui et auxquelles on supprime des moyens, jouent un rôle logiquement de “service public” largement abandonné par l’état.
état qui en maintenant son logiciel d’économie de marché, nous laisse attendre un “ruissellement” qui ne se produira pas. Il préfère sabrer les montants alloués aux institutions locales plutôt que de rechercher un moyen de trouver des ressources supplémentaires.
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