Renaud Muselier rétropédale sur l’usage de l’écriture inclusive par les associations
La décision du conseil régional de ne plus subventionner les associations utilisant l’écriture inclusive fragilise les structures et leurs projets. Face à la levée de boucliers du secteur culturel, Renaud Muselier rétropédale un peu.
Commentaires
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Même pas capable de trouver un bon prétexte. Nul. Doit absolument se reprendre, sinon il finira à la Mairie.
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J’ai fait de longues études, mon métier est d’écrire et je n’arrive pas à lire ces montagnes russes de ponctuation et de choix. Je me rapp tjs les migrants francophones incapables comme moi de déchiffrer le panneau des règles de vie quotidiennes des militants occupant la Criée. Cette écriture exclu. L’idéologie aveugle.
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Cher monsieur Muselier, vous avez réussi votre coup de pub: on regarde le doigt de l’écriture inclusive et non pas la lune de la politique budgétaire régionale: plus de Jeux (de “je”) , moins de culture.
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Monsieur Muselier et les zélus qui le soutiennent n’en n’ont en fait rien à cirer de l’écriture inclusive, certains déjà préoccupés à faire leurs prises de paroles dans un français compréhensible. Ces gans-là font du bruit (du buzz en franglais) pour faire entendre leur voix en période pré-électorale. Voilà qui est réussi et il y a des dégâts collatéraux dans les associations, mais de cela, ces gens-là n’en ont également rien à cirer. On se rapproche un peu de l’extrême droite, mais pas trop pour n’injurier d’avance aucun des avenirs possibles. Cet argent, notre argent dont ils détiennent les cordons de la bourse, ils comptent bien l’utiliser à leur avantage et non pas pour vivifier la vie culturelle de la Région. D’autant plus que ce ne sont pas les associations de tambourinaïres (que je respecte sincèrement par ailleurs) qui utiliseront l’écriture inclusive…..
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On devrait expliquer à ces gens que les langues vivent et évoluent par l’usage indépendamment des normes édictées, que ce soit par des administrations ou des militant-e-s. L’usage, les usages, retiendront tout ou partie de l’écriture inclusive, peut-être rien, peut-être tout, et un jour ce sera juste “normal” jusqu’à la prochaine évolution de la norme.
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Voilà, merci.
J’ajoute que se cacher derrière les personnes dyslexiques pour justifier une petite mesure d’intolérance politicienne est minable. Le procédé qui consiste à instrumentaliser une minorité dont, par ailleurs, on ne se soucie jamais est un classique qui n’honore pas celleux qui l’utilisent.
Mais la phrase importante, dans tout cela, est celle-ci : “On n’a pas oublié que Muselier est venu nous chercher deux fois pour faire barrage à l’extrême droite.” S’il envisage que lui-même et ses élu·es soient éventuellement réélu·es en 2028, il devrait y réfléchir.
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Tout-à-fait. Etant dyslexique, j’en ai profondément marre qu’on dise que l’écriture inclusive n’est pas lisible. J’écris en écriture inclusive tout les jours et hormis l’effort de prendre l’habitude, ce n’est pas plus compliqué que l’écriture classique.
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Tout à fait. C’est un facteur d’égalité. Les personnes dyslexiques écrivent naturellement en écriture inclusive.
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L’écriture inclusive me donne mal aux yeux. Insupportable de wokisme. Pas d’argent public pour les
« iels » qui massacrent la langue française par pure provocation !
PS : j’abhorre le RN et je ne vote pas Muselier sauf quand il a fallu faire le castor (barrage)
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