Dans la famille des songwriteuses qui se baladent guitare à la main, difficile de s’y retrouver. Pourtant dans cette mêlée, aux accords qui fleurent parfois la pacotille, quelques artistes se démarquent par leur univers intime et pénétrant. Emily Jane White fait partie de ces gens là. Cette Californienne voyageuse, dont la voix feutrée est souvent comparée à celle de Cat Power, vient de sortir un deuxième album, « Victorian America » aussi soyeux et envoutant que le premier. Un folk ténébreux accompagné de lignes de guitares simples ou de lentes mélodies au piano. Un violoncelle pour renforcer la gravité du propos et de l’ambiance, on plonge alors dans ce monde couleur sépia aux histoires tragiques pour ne plus jamais en sortir. L’album est ...
Pour lire l'article complet ou rédiger un commentaire, veuillez vous identifier.
L'abonnement au journal permet d'accéder à l'intégralité de nos enquêtes et de rejoindre la communauté Marsactu.
Vous n’avez pas encore de compte ? Abonnez-vous
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu. Commentez, échangez
avec les autres lecteurs et créez votre blog.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Vous pouvez choisir de refuser les cookies.J'accepteNonEn savoir plus
Commentaires
0 commentaire(s)
Rejoignez-la communauté Marsactu pour, vous aussi, contribuer au débat local. Découvrez nos offres
ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.