Un ancien proche collaborateur de Benoît Payan marche avec la droite locale

Actualité
le 23 Oct 2024
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L'ex-directeur général adjoint chargé du plan écoles à la Ville de Marseille, Christophe Pierrel, va participer à un débat organisé par la droite locale. Ce rapprochement avec les équipes de Renaud Muselier se double d'interventions autour de la préparation des JO d'hiver. La gauche oscille entre ironie et crispation.

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L'hôtel de Ville de Marseille. (Photo : ML)

L'hôtel de Ville de Marseille. (Photo : ML)

C’est un événement qui va faire du remous, en tout cas, au sein du microcosme politique marseillais. Alors que la cour des comptes et la chambre régionale des comptes ont rendu public leur premier rapport, cinglant, d’évaluation du plan Marseille en grand, et pendant que l’État, la métropole et la Ville de Marseille peinent à […]
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Commentaires

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  1. ruedelapaixmarcelpaul ruedelapaixmarcelpaul

    La droite locale organise un débat sur les écoles.
    Cela risque d’être fort intéressant. Hâte d’y participer et d’entendre leurs réponses quant au fait qu’un plan d’1 milliard de l’Etat soit nécessaire pour rénover le bâti scolaire marseillais

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  2. julijo julijo

    finalement, c’est plutôt intéressant, cette droite locale (de centre droit !) qui fait feu de tout bois deux ans avant une échéance municipale !
    serait-ce une remise en question du (non) travail de gaudin et consorts sur ce sujet pendant les mandats précédents.

    l’avocate activiste survitaminée du groupe organisateur ne considère pas pierrel comme “une prise de guerre”, “il ne nous rejoint pas” !
    et puis :
    “Je n’ai aucun lien avec Une génération pour Marseille. Il ne faut pas y voir une démarche politicienne. Je ne suis pas dans une démarche partisane”.
    dit pierrel.
    ok, mais pourquoi un débat, entre personnalités qui n’ont aucune capacité de décision possible en la matière, de même qu’aucune expérience sur le sujet ; aucun des invités ne peut intervenir efficacement et concrètement.
    sauf à influencer politiquement des choix éventuels, acceptés ou pas, ou à débattre de l’activité du PM.
    sauf également à sortir un bilan des 20-25 dernières années, afin de mesurer les dégats.

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    • Citoyen-ne-s-de-marseille.fr Citoyen-ne-s-de-marseille.fr

      Pierrel est en charge du Plan Ecoles et de la mise en place de la SPEM
      Roubache était en charge du Plan Marseille en Grand

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  3. diasdominique diasdominique

    C’est surtout de la communication. Et Marsactu leur fait caisse de résonnance. Pourquoi pas ça nous fait une distraction. Et avec le come-back du communicant PS qui se compare lui-même à Villepin à la fête de l’huma, on est dans le burlesque. Ca aurait fait de beaux dessins dans Le Ravi…
    Heureusement les autres articles de Marsactu sont toujours très sérieux. Sinon merci pour ce moment !

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    • ruedelapaixmarcelpaul ruedelapaixmarcelpaul

      reprocher à un journal d’informer, meilleure blague de l’année

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  4. Félix WEYGAND Félix WEYGAND

    Bof…tempête dans un verre d’eau… Pierrel a bien le droit de chercher du travail où il veut et où il en trouve et de parler si on l’y invite.
    Les Muselier’boys organisent un débat où ils pourront dire que tout était de la faute de Gaudin et de Vassal mais que leur chef n’était pas dans le coup (ce qui est assez probable, Muselier n’est jamais dans le coup de rien, comme il le disait lui-même quand il était sous-ministre de Villepin). Ils rajouteront que Payan n’a pas fait mieux et que Muselier pourrait le faire (ce qui est probablement et doublement faux).
    Bref… la chicaya locale habituelle de la politique marseillaise… aucun intérêt…

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  5. didier L didier L

    Beaucoup de bruit pour pas grand chose : qu’un haut fonctionnaire participe à un débat du camp adverse de celui pour lequel il a travaillé avant n’a rien d’une ” trahison”. On a vu bien pire ici et ailleurs alors doucement les basses.
    Ce qui inquiéte Payan et le PM c’est peut-être que ce haut fonctionnaire, qui fut au coeur de la machine muncipal ‘ éphèmère dir cab de Rubirola, puis chargé des écoles etc … en sait beaucoup sur le fonctionnement et le disfonctionnement du tandem Rubirola/payan.
    Par ailleurs si Macron le déteste, cet homme ne peut pas être complétement mauvais.

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    • julijo julijo

      tout à fait.
      et quelque part je m’interroge sur le bien fondé de deux articles sur marsactu autour du même sujet . anecdotique.
      est-ce que ça vaut vraiment toute cette pub sur ce débat vers les abonnés ?
      on sait tous que ce n’est qu’un coup de com.
      perso, je trouve que c’est juste une mesure de l’ambiance au “centre droit” : métropole, région et département tirent à vue et à côté sur le PM, rien de bien nouveau.

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    • Lacoste P. Lacoste P.

      Excusez du peu, Pierrel n’est pas un “haut fonctionnaire”, il était contractuel lors de ses passages dans la sphère publique.
      C’était très public qu’il avait mis son carnet d’adresse de l Elysee pour pantoufler au service des PPP Juteux de Vinci, voir ci dessous.
      Donc le faire venir à Marseille, pour le plan Écoles, c’était évidemment donner une grosse prime à Vinci contre ses concurrents.
      Et comme il n’est pas “haut fonctionnaire ” , ni “ingénieur d’etudes” et encore moins spécialisé BTP
      mais contractuel politicien de carrière, il fera comme il veut.
      Voir ici: https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/bordeaux-christophe-pierrel-prend-les-commandes-du-stade-matmut-atlantique-1554214613.

      La question était : pourquoi la Mairie l’a embauché sachant que c’était un “VINCI BOY”.?

      La réponse était simple : pour fabriquer un PPP, version MGP.

      La nouvelle question c’est “pourquoi maintenant Muselier donne une clé d’entrée a VINCI sur les travaux forcément ruineux des JO 2030?

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  6. Valmy Valmy

    Christophe Pierrel n’a pas été secrétaire général adjoint de l’Elysée mais chef de cabinet adjoint. Pas tout à fait le même niveau de responsabilités…

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  7. Stéphane Boumendil Stéphane Boumendil

    Marsactu aurait pu rappeler que Christophe Pierrel a commencé son parcours politique à droite. Il a été candidat aux élections cantonales en 2008, dans le canton de Mulhouse sud, soutenu par Nicolas Sarkozy, alors allié du parti politique la Gauche moderne de Jean-Marie Bockel.
    Ce compagnonnage avec la droite marseillaise ne serait donc qu’un putatif retour aux sources.

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