À Marseille, les marchands de sommeil tombent, les conditions de vie indignes durent. La condamnation de Gérard Gallas, ancien policier devenu marchand de sommeil, se voulait exemplaire. Or, après la confiscation de son immeuble au 85 boulevard Viala, les habitants sont désormais victimes de...

Il y a quelques jours, des touristes ont atterri dans un appartement du cours Julien, sis au premier étage d'un immeuble placé sous arrêté de mise en sécurité. Depuis un an, des travaux doivent mettre fin à de graves désordres structurels. La propri...

Le jugement des effondrements de la rue d'Aubagne met en cause la responsabilité directe d'un élu municipal dans la mort de huit personnes dans un dossier de mal-logement. C'est une première. Plus largement, le tribunal pointe l'organisation défaillante des services municipaux et établit...

Dans son jugement, le tribunal s’est montré sévère et désireux d’empêcher le système Zennou de perdurer. Les parties civiles sortent de ce procès avec la satisfaction d’être reconnues comme victimes, mais restent vulnérables face à leur...

Depuis novembre 2023, les habitants du 85 boulevard Viala et du 179 avenue Roger Salengro (15e) ne sont plus locataires, mais vivent malgré tout dans des appartements insalubres. Après la condamnation exemplaire et la saisie des biens immobiliers de leur ancien propriétaire Gérard Gallas, ils...

Lors du dernier comité de suivi de la charte des délogés, la Ville a évoqué la possibilité d'une forme de droit à l'oubli. Ce dernier entraînerait l'effacement, sur le site de la mairie, des arrêtés de mise en sécurité une...

Raphaël Zennou, l’un des marchands de sommeil les plus emblématiques de Noailles, comparait au pénal depuis mercredi. Face aux témoignages parfaitement concordants de nombreux locataires, il joue l’étonnement et la peine, avant de contre-attaquer en rejetant la faute sur...

Le tribunal correctionnel juge à partir de ce 12 mars Raphaël et Sarah Zennou, ainsi que leur "homme de main", pour avoir logé une cinquantaine de locataires dans des immeubles insalubres de l'hyper-centre marseillais.

Le propriétaire de 29 taudis au sein de la copropriété dégradée du Gyptis comparaît depuis hier devant le tribunal correctionnel. À la barre, l'homme s'est embourbé dans ses explications.

Après un premier procès reporté, le plus gros propriétaire du Gyptis comparaît de nouveau devant la justice pour soumission de personnes vulnérables à des conditions d'hébergement indigne. Il louait 29 appartements pour lesquels il percevait jusqu'à 400 euros de loyer, alors que...

Le propriétaire du 18 rue des Feuillants, immeuble évacué le 5 novembre dernier suite à sa mise en péril, a saisi le tribunal des référés pour que ses occupants soient déclarés squatteurs. Eux disent avoir un bail oral avec leur logeur...