Près de 200 000 euros détournés par une salariée dans deux centres sociaux marseillais
Depuis début 2023, au moins 200 000 euros ont été détournés par une seule comptable dans les centres sociaux de Malpassé et Del Rio. Passé le choc, direction et administrateurs tentent d'évaluer les conséquences de cette affaire.
Le centre social Malpassé, dans le 13e arrondissement de Marseille. (Photo : LC)
Commentaires
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De qui dépendent les centres sociaux ?
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La réponse est dans l’article. C’est une subvention à une association de droit privée avec son conseil d’administration élu en Ag.
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Bonjour Jack,
Ce sont des centres sociaux indépendants, autonomes dans leur gestion donc.
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oui assoc. de droit privé, subventionnée par la mairie principalement, la caf, le département…
institutions qui financent, mais se mèlent rarement de ce qui s’y passe et opèrent encore moins de contrôles.
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“Les centres sociaux sont souverains quant au choix de leur comptable comme de leur commissaire aux comptes, la mairie n’a pas vocation à interférer”, donc on finance mais on ne contrôle pas ? c’est ça ? ce qu’on comprend c’est que personne n’a jamais la curiosité d’aller au-delà du carnet de chèques ?
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Et même si on voit tout en noir on pourrait aller jusqu’à penser que c’est un des intérêts majeurs de la délégation de service public ou de la sous-traitance : moins de règle “publiques” ou “corporate” , et comme par hasard moins cher , avec une efficacité difficile à comparer puisqu’on a délégué. On a alors un donneur d’ordre type “actionnaire” qui “fait” travailler les autres au plus faible coût et peut crier au crime de lèse-majesté quand les choses se gâtent : service mal rendu, faute … ou prise de pouvoir par ceux qui font aux dépend de ceux qui ordonnent.
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Et toujours sur la face sombre du service public en mode association + subventions : petites structures, pas ou peu de syndicats, possibilités de petits tirants … Un “sous-prolétariat” au front face à un public parfois difficile, et en difficultés.
Une petite charte serait bienvenue, à défaut d’un système de vigilance et encore mieux d’un support réel au delà du carnet de chèque, comme le disent les citoyens phocéens. De l’éthique de l’Économie Sociale et Solidaire, en somme. (car on est dedans, qui dit association dit “ESS”).
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Et qu’attend le parquet pour ouvrir une enquête ?
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Bonjour Emile,
La plainte est relativement récente et n’a donc pas encore été traitée.
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Il doit y avoir un commissaire aux comptes pour vérifier la comptabilité chaque année il est pas mis en cause ?
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A voir
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2907
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Une enquête n’a toujours pas été ouverte … la comptable en cause n’a pas été entendue, pas de mise en examen que sont devenus les 200 000 euros a quoi ont-ils servi ? Au bénéfice de qui, pourquoi ? La plainte vient à peine d’être déposée ?? Mais que fait l’autorité publique ? C’est pire que la petite délinquance ! Cette affaire de délinquance en col blanc au détriment du ” social” est gravissime … le traitement judiciaire devrait être exemplaire. A suivre.
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