Pour remplacer le métro de nuit, les bus iront partout sauf là où ça coince

Depuis cette semaine, on a enfin dans les stations de métro une information officielle sur cette fermeture nocturne. A deux semaines de l’échéance, il était juste temps.

Les protestations des usagers et des professionnels, les articles de presse n’y auront rien fait : on va faire comme Sainte Catherine Pila a dit, sans bouger d’un centimètre. J’espérais vaguement un petit décalage de l’heure de fermeture, de l’ordre d’une demi-heure ou de trois quarts d’heure. Ca n’aurait sans doute pas compromis les essais. Mais les désirs de la sainte présidente sont des ordres : on ne va tout de même pas tenir compte aussi de ceux des usagers.

Pour faire la même chose qu’à Paris sur les lignes 1 (il y a quelques années) ou 4 (actuellement), on s’oblige ici à emmerder beaucoup plus les usagers. Encore bravo pour le mépris. Et, comme souligné plus haut, félicitations au génie qui, après avoir claqué quelques centaines de millions d’euros pour mettre un tramway par dessus un métro, vient enfin de trouver pourquoi.