Pour réindustrialiser le golfe de Fos, l’État va encore détruire des espaces naturels
Comment la réindustrialisation du golfe de Fos prendra-t-elle en compte la nature ? Dans le rapport confidentiel que s'est procuré Marsactu, la "compensation écologique" des lourds impacts engendrés par ce projet figure parmi les axes principaux.
Commentaires
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« ils ajoutent, lacunaires (…) »
Euh… « laconiques », peut-être?
Sinon, bravo pour cet article
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Oups, lapsus 😉 Nous allons corriger. Merci pour votre vigilance.
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Bonjour Marsactu et merci pour ces articles très intéressants. Comment comprendre les “1 000 hectares identifiés sur la circonscription portuaire” et les “2 000 à 3 000 hectares” de compensation correspondant ? L’infographie dans l’article de Benoît Gilles mentionne 338 ha de projets au total.
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Bonjour,
Les 1000 hectares identifiés dans l’enceinte du port correspondent à la surface sur laquelle des “actions de compensations” peuvent être réalisées.
Les 2000 à 3000 hectares sont eux l’estimation de la superficie nécessaire pour absorber les impacts des derniers projets (cf l’article de Benoît Gilles), toujours en appliquant la méthode de la compensation.
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Merci de cette précision. De toute évidence, en matière d’environnement, tous les hectares ne se valent pas, d’où j’imagine ce rapport de 1 pour 10.
L’angle mort de ces débats semble être l’avenir à moyen terme des activités de ce territoire amenées à ralentir, du fait de la transition énergétique ou simplement de la raréfaction de la ressource pétrolière.
Quelques ordres de grandeur : 10 000 ha pour le terminal pétrolier de Fos, 1 000 ha à Berre-l’Étang pour raffiner de la matière première plastique, 250 ha à Plan de Campagne … en 2035, qu’y fera-t-on ?
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“l’intérêt de densifier l’usage de la zone industrielle portuaire, solution nettement préférable à une dissémination des sites industriels”.
En est-on bien sûr ?! ça paraît clair pour des activités liées à la mer ou au transports maritimes (DEOS, GravitHy, 3XL, ZSP2, TTM).
ça me paraît moins clair pour la production d’hydrogène ou de carburants verts, ou de production de panneau solaires (Carbon, Neocarb, H2V). Ceux là pourraient peut être être répartis sur la Vallée du Rhône ? ça limite les appels d’électricité, ça limite les risques industriels j’imagine. Et il y a le Rhône pour relier tout ça …
Le modèle des bassins industriels, ça se repense peut-être ? Je crois savoir qu’en Allemagne par exemple, l’industrie est très disséminée. OK les boomers, lâchez un peu les schémas !
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