[Podcast] “Où commence la corruption ?”

Podcast
le 2 Déc 2022
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Marsactu lance un nouveau podcast. Il s'appelle "Le bocal" et propose de se glisser dans les coulisses d'une de nos enquêtes. Pour ce premier épisode, plongée dans l'affaire Chervet, un système de corruption découvert en 2016 au sein même du conseil départemental.

 

 

L’idée tournait dans nos têtes depuis des mois, et enfin, le voici. Le Bocal de Marsactu, c’est Marsactu, mais en son et en paroles. Notez le rendez-vous, abonnez-vous via vos plateformes de podcast préférées : désormais, toutes les deux semaines, Violette Artaud vous attendra dans cette petite pièce de nos bureaux, où ont lieu nos discussions les plus confidentielles.

Elle y recevra un ou une autre journaliste de la rédaction pour évoquer l’une de ses enquêtes du moment. Entre coulisses et ressentis personnels, la conversation prendra la forme d’une plongée dans notre travail du quotidien, celui d’un journal local d’investigation implanté à Marseille.

Pour ce premier épisode, Jean-Marie Leforestier, rédacteur en chef de Marsactu, revient sur l’affaire Chervet. Alors que le délibéré du jugement vient de tomber ce vendredi, il raconte comment il a décortiqué, au fil des années, un système de corruption découvert au sein du conseil départemental des Bouches-du-Rhône. Où commence la corruption ? Comment l’aborder ? Entrez et fermez derrière vous, Marsactu ouvre enfin le bocal.

Pour aller plus loin sur l’affaire Chervet, découvrez toutes nos enquêtes réunies en un dossier.

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Commentaires

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  1. justinia1901 justinia1901

    Tres bonne idée ce “Bocal” c’est comme à la radio. Tres utile pour les personnes âgées écouter c’est mieux que de lire à cause de notre vue un petit peu chancelante !!!

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  2. Félix WEYGAND Félix WEYGAND

    Top !
    Même quand on voit bien !

    On peut l’écouter en faisant autre chose !

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  3. vékiya vékiya

    très bien

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  4. barbapapa barbapapa

    Très intéressant, merci, même si quasi toutes les infos rapportées o déjà été publiées. Sur le fond, je pense que les différentes présidences politiques de ces monstres à gros budget ne mettent pas en place des mesures strictes anti’-corruption car à un très haut niveau elles aussi sont là pour orienter la commande publique auprès des grands groupes du btp, de l’eau, de la communication, etc. qui tiennent l’économie et le pouvoir.

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  5. Forza Forza

    Très réussi. Vous avez trouvé le ton juste et c’était pas facile, surtout pour une première sur un sujet un peu “sensationnel”. J’attends le prochain avec impatience. Bravo @Violette et la team @Marsactu

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  6. Dark Vador Dark Vador

    Première expé de ce format sur Marsactu : excellent, même si effectivement on a lu déjà beaucoup de choses à ce sujet. Entendre le récit de la corruption se dérouler, s’informer dans une autre dimension que l’écrit, j’apprécie énormément. Bravo et continuez dans cette voie 😋

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  7. Marc13016 Marc13016

    Très attractif, le format Podcast dans un bocal ! Bravo pour la diversification des supports.
    L’analyse de la corruption en mode “amateur” est nouvelle par rapport à ce qui était paru précédemment, me semble-t-il. Elle est intéressante, car elle neutraliserait les hypothèses du type “arbre qui cache la forêt” : M. Chervet, s’il avait des méthodes trop maladroites, n’est sûrement pas le pion d’un système de corruption plus substantiel qui le réduirait au silence en acceptant de “prendre pour les autres”. Les systèmes tentaculaires ont des procédés plus techniques et moins détectables, j’imagine.
    De même, si la cible des actes de corruption étaient des petites entreprises, elles ne peuvent pas contribuer à un système plus étendu. Cette hypothèse me paraissait probable jusqu’à présent, mais les pratiques “innocentes” des acteurs l’infirment.
    ça reste donc dans le style des “arrangements” à la Marseillaise. Pas excusables pour autant, surtout si ils sont généralisés, et surtout ignorés par les hiérarchies et les institutions sensées les surveiller.

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  8. mrmiolito mrmiolito

    Très intéressant merci. Pour info je travaille dans une agence nationale et dans un module de formation “probité/corruption” suivi récemment, le montant au delà duquel on ne peut pas/doit pas accepter un cadeau, a été fixé à 150 €.
    Autre garde-fou, en forme de question à se poser : “est-ce que ce cadeau, je pourrais me le payer ?” si la réponse est non, ne pas l’accepter.
    Ca vaut ce que ça vaut mais ça semble raisonnable !

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  9. Piou Piou

    Grande consommatrice de podcasts, je suis ravie de ce nouveau format !

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