Plan de rénovation des écoles : notre contrôle surprise de rentrée
470 écoles et des projets par dizaines. En cette rentrée, Marsactu fait le point sur les acquis du grand plan de rénovation de la Ville de Marseille et révise le programme de l'année.
Benoît Payan et son adjoint délégué aux écoles Pierre Huguet, accueilli par une professeure de CM2.
Commentaires
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Bonjour il se peut que j’aie al lu l’article, mais j’aurais aimé plus de précision quant à ce qui relève strictement de la mairie et ce qui relève de la Métropole ou d’autres instances.
On a du mal à savoir ce qui est de la seule responsabilité du ” grand plan de rénovation de la Ville de Marseille”.
Mais c’est une bonne idée de faire des points d’étape.
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Il y avait du retard à rattraper , c’est certain; mais rappelons que le DGA plan École a un diplôme en communication ; CQFD
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? et donc ? allez au bout de votre pensée.
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Ce n’est pas la répartition des compétences mais la dispersion des compétences…Si les communicants sont bien là, il ne manque que les cabinets de conseil Pourquoi tant d’acteurs et autres intervenants ?
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Je regrette de ne pas recevoir de réponse claire à la question que je posais : qu’est ce qui incombe uniquement à la Ville ?
Pour qu’on puisse juger, par rapport au “chapeau” de l’article : “les acquis du grand plan de rénovation de la Ville de Marseille”.
C’est pourtant simple à faire, de décrire ce qui relève strictement à la Ville, ce qui relève de la Métropole, ce qui relève de la Soleam, ce qui relève de la société publique d’intérêt nationale, etc..
Vous voyez ? Un petit tableau bien clair avec les projets, les instances responsables des projets, les dates de début, les dates de fin, etc.. Une véritable information objective, quoi…
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Bonjour,
je suis désolé de ne pas vous avoir répondu, votre question m’a échappé.
De manière générale, les écoles dépendent de la Ville, sans partage de compétences. Contrairement à d’autres domaines, il n’y a donc pas ici de débat sur le chevauchement avec la métropole.
Les seules exceptions, qui sont toutes citées dans l’article, concernent les projets dont la maîtrise d’ouvrage a été déléguée à un autre opérateur public. Cela ne signifie pas que la Ville ne finance pas ou n’a pas de rôle de suivi en bout de chaîne, mais la conduite opérationnelle est ailleurs.
Voici à nouveau les projets de ce type :
– Capelette (Soleam)
– Vallon Régny (Soleam)
– Les Fabriques (Euroméditerranée)
– Cité scolaire internationale (Area / Région sud)
Soit 4 sur 32, tous bien enclenchés avant 2020.
À ce jour, aucune maîtrise d’ouvrage n’est assurée par la SPEM. Ce sera sans doute l’objet des prochaines annonces et délibération en conseil municipal.
J’espère avoir répondu à votre question. En tout cas je ne vois pas en quoi l’information présentée précédemment n’était pas “objective”.
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Parce que nos zélus sont ce qu’ils sont, la Ville a décidé de ne rien confier à la SOLEAM côté école (la Capelette et Vallon Régny étaient des projets engagés bien avant l’arrivée du PM). Faut dire que l’attitude odieuse de LRP (et de la structure métropolitaine) a bien contribué à les en convaincre.
Résultat on crée une SPL supplémentaire et une SPL existante a un actionnaire (la Ville) à 20% qui ne lui donne pas de travail. Autrement dit on multiplie les structures et leurs coûts, avec nos impôts, pour satisfaire une petite stratégie politique.
Quant à l’action de la Ville dans les écoles à ce jour, cela se résume à 2 coups de peinture et à avoir mandaté le groupe Bouygues (via une de ses filiales) pour aller tartiner dans les cours un revêtement “perméable”… sans regarder si les sols en-dessous l’étaient, eux, perméables. Et le produit mis en oeuvre est “organo-minéral” : chimique donc, avec un bilan carbone consternant. Bref : du vent.
Faut dire qu’avoir perdu 1 an et demi à chercher à imposer un DG bien précis à la tête de la SPL des écoles contre l’avis d’E. Macron, qui le connaît et le déteste, c’était ballot et ça n’a pas aidé cette structure à se mettre en ordre de marche.
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