Aux confins du travail : Franck, directeur d’école

Série
le 31 Mar 2020
4

Chaque semaine, Marsactu donne la parole à des Marseillais qui continuent d’aller sur leur lieu de travail. Forces de l’ordre, primeurs, soignants, instituteurs… Ce sont celles et ceux sur qui reposent la continuité de notre quotidien. Premier épisode, Franck, directeur d’école maternelle et enseignant dans les quartiers sud de Marseille.

La classe vide d
La classe vide d'enfants de Franck. Photo : DR

La classe vide d'enfants de Franck. Photo : DR

Depuis deux semaines, la cour de cette école maternelle marseillaise est désespérément vide. Plus de cris d’enfants, plus de rires en cascade, plus de sprint de parents, cartables sur le dos, avant que les portes ne ferment à 8h40 précises. Au lieu des 138 élèves qui d’ordinaire habitent ces murs, il y en a cinq […]
10 ans d'indépendance
UNE FIERTÉ, UNE FÊTE
UN COMBAT
Les coulisses de Marsactu
Dans le  contexte du confinement, les interviews sont réalisées par téléphone, et les photos prises par les interessé-es.
Maud de Carpentier
Journaliste indépendante en radio et presse écrite, basée à Marseille et membre du collectif Presse-Papiers. Maud de Carpentier réalise des longs-formats en radio pour la RTS, France Inter et France Culture.

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. FM84 FM84

    Bravo Franck. C’est ça le service public et demain il faudra se battre pour le défendre et lui donner d’autres moyens!

    Signaler
  2. Michéa Michéa

    Bravo Franck.

    Signaler
  3. Haçaira Haçaira

    Lecture les yeux pleins de larmes, et ils sont des centaines, des milliers comme Franck. Merci à eux, et les autres devront rendre des comptes

    Signaler
  4. shimizu shimizu

    Merci pour votre témoignage, et votre engagement. Oui, un enfant seul et une classe ne renvoie pas la même énergie! Cependant, je m’interroge: et dans les écoles des quartiers nords, à la Belle de Mai,…Les moyens ne sont pas toujours identiques. ET puis, les enfants des soignants, oui, des commerçants qui nous nourrissent, oui, et ceux des femmes seules avec des emplois durs et sous-rémunérés, quel soutien? peut-on mutualiser les aides entre écoles? si vous pouviez éclairer ma lanterne, je vous en remercie.

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire