Marseille, bonne élève de la lutte contre les trafics de stupéfiants ? Pas si sûr
Le gouvernement présentait mardi son nouveau plan de lutte contre les trafics de stupéfiants depuis Marseille. L'occasion pour le ministre de l'Intérieur de se féliciter de chiffres encourageants à Marseille. Un discours qui se heurte toutefois à une réalité plus difficile.
Commentaires
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Sur que c’est difficile. En tout cas savoir que l’argent ”sale” sert aux commerçants, aux magasins, bistrots qui se font embellir la façade quand tant de petits commerces peinent à se rénover…
Sans compter que cette monnaie-billets de 500 Euros- se blanchissent au soleil du Vieux Port avec l’éventuelle complicité de certains élu-e-s dont certains journalistes connaissent la corruption. Difficile d’en dire quelque chose quand certains connaissent le gout pour ce sport national qui consisterait à payer l’artisan sans facture.
Allons soyons honnête. Les petits trafics, l’argent ”sale”, les magouilles (un mot pour dire ce qui se fait d’illégal) ne seront persistant si les élus ne nous montrent pas l’exemple.
Marseille n’est pas une République des démocraties du froid type Suède, Norvège…
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com-com-com…
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L’OFAST remplace l’OCTRIS ! 3 ministres et un sous -ministre pour annoncer ça !
Tant qu’à faire, ils auraient pu créer le GRAND Office anti-stupéfiants : GOFAST ! C’était mieux adapté, non. Et à Marseille, on connaît déjà…depuis longtemps !
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