Malgré la mise en concurrence, la SNCF garde la main sur cinq lignes autour de Marseille
L'opérateur historique va pouvoir conserver l'exploitation de cinq lignes, dont celles qui relient Marseille à Aix, Toulon et Briançon, après un nouveau duel face à Transdev, qui est depuis cet été la première compagnie privée à opérer un TER en France, entre Marseille et Nice. Les syndicats craignent toutefois l'effet d'un éclatement du réseau.
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Juste une précision : il n’est pas tout à fait exact d’écrire que “sauf changement d’orientation politique, le troisième et dernier acte etc.” En effet, l’ouverture à la concurrence, ici comme dans les autres Régions, est une obligation qui résulte de la loi, et non une possibilité liée à la couleur politique de l’exécutif régional. Et cette loi est elle-même prise en application des règles de l’Union européenne. Qu’on le déplore ou qu’on s’en félicite, le “troisième et dernier acte” aura lieu.
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On nous conseille d’acheter des raisins français plutôt qu’italien mais pour les trains !
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Nous avons tant de retard ici ! C’est tellement la galère d’aller à Aix, Toulon ou Gap en train. Un RER métropolitain, mais oui, on en a besoin, mais c’est pour quand ? Muselier avait choisi les bus.
Et tout morceler, saucissonner les principales lignes, quel est l’intérêt ?
Si la Sncf garde la ligne des Alpes, c’est pour avoir des clients qui prendront des billets de n’importe quelle ville de France direction les sites olympiques. Là ils savent qu’il vaut mieux ne pas saucissonner la ligne.
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