Le service municipal en charge des immeubles en péril est au bord de l’implosion
En charge des arrêtés de péril permettant d'évacuer les immeubles dangereux, le service de prévention et de gestion des risques est au bord de l'implosion. Malgré les renforts engagés par la mairie, les arrêts de travail se multiplient et les principaux cadres sont partis.
Le service municipal en charge des immeubles en péril est au bord de l’implosion
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Rien de nouveau malheureusement. Les élus en charge s’en sortent bien. Et la métropole qui n’a toujours pas la compétence, ne sera pas en capacité de faire si le plan est juste de reprendre le personnel du SCHS et le SPGR. Quid d’une véritable volonté politique, une organisation, une articulation partenariale et surtout un plan d’action à 10 ans car il est illusoire de croire que les 43 000 logements du parc privé potentiellement indigne vont être remis aux normes de décence rien qu’à l’incantation de la Métropole…..
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Monsieur Gilles, à la fin de de la lecture de votre article une gêne s’installe.
Non pas du fait que l’ingénieur Rué soit aussi architecte, non pas du fait que vous décrivez un service municipal à la dérive et il n’est pas le seul,mais plutôt sur le fait que vous évoquez nommément un cadre et que vous ne nommiez pas les responsables hiérarchiques en vous réfugiant derrière le vocable de “la ville”.
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En même temps, rattraper 23 ans de. retard en quelques mois (et j’exagère à peine), c’est tout bonnement impossible. après plus de deux décennies de mise de côté des principaux problèmes, la mairie est obligée de tomber dans l’excès inverse, par principe de précaution… j’imagine que ça ne doit pas être facile pour tout le monde. ils devraient en toucher deux mots à leurs supérieurs, les. mêmes qui. disaient devant les caméras de France 2 en décembre dernier, qu’ils étaient tombes des nues comme tout le monde en apprenant “la terrible tragédie”. Je parle bien sûr de MM Ruas (alias.”j’ai rien vu j’ai rien su”) et Gaudin (alias”peuchere les poooovres ils n’avaient pas la chance d’habiter dans le huitième, quel doooomageuh”).
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Votre dernier paragraphe est le fondement du problème.
Les élus avaient-ils été informés par leur administration ?
Si oui léger problème.
Si non léger problème itou
C’est pour cela monsieur Gilles que le monsieur “on” qui se cache à “la ville” doit bien être situé
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Après avoir abandonné ses habitants, la Ville maltraite ses employés en leur faisant porter la charge de l’incurie politique.
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Qui est la Ville ?
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Les élus.
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Il est difficile et inconvenant de médire sur la maladie, je conçois que dans certaines situations, on ne puisse plus assumer et que les plus fragiles soient victimes de “burn out” – mais lorsqu’on a un immense besoin d’eux, les 4 cadres qui se mettent ensemble en maladie, ça ressemble à de la désertion pas jolie après se l’avoir “coulé douce” pendant des décennies dans ce service si l’on en croit tout ce qui a été écrit.
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“Les agents en arrêts sont en cours de remplacement, il n’y a pas là de dysfonctionnements. C’est la vie normale d’une entreprise de la taille de la Ville de Marseille qui compte 12 000 agents et doit faire face, dans le cas précis, à un événement considérable.”
Tous les cadres tombent, les autres n’ont pas l’expérience … mais c’est normal, tout va bien ?! Et sinon il y a la métropole qui représente le summum de la mécanique bien huilée ? Pas sûr que toutes les leçons soient tirées de “l’évènement considérable”.
Et je rejoins la question de M de Meria, c’est qui “la ville” sur ce dossier ?
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Donc pour résumer, “la vie normale d’une entreprise de la taille de la Ville de Marseille” selon l'”administration” c’est: des années de branlette suivies de quelques semaines de chaos total, puis des arrêts de travail qui se multiplient… A la fois révoltant et déprimant.
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A voir l’état des bâtiments du centre ville on a bien compris que le service municipal en charge de l’habitat indigne ne devait pas être accablé de travail . Là on est dans l’extrême inverse avec en plus l’engagement de responsabilités, pas étonné que tout le monde fuit .
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Il y a donc des personnes qui resteront longtemps encore dans des immeubles en peril, et des risques que d autres immeubles s effondrent…. c est effrayant.
Pendant ce temps, l équipe municipale designe des fusibles, et planque les documents gênants ?
Leurs préoccupations sont toujours les mêmes, sûrement pas la sauvegarde des habitants et des usagers du centre ancien.
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