Le retour des drones renifleurs qui auscultent la pollution des navires
Drones, capteurs et satellites... Pendant tout le mois de juillet et pour la deuxième fois, des chercheurs vont recueillir par différents moyens les fumées émises par les navires dans le Grand port de Marseille-Fos. Une initiative mise en avant par l'institution, après des crispations autour de la pollution de l'air.
Commentaires
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Vox populi,Vox dei.
Comme quoi quand les habitants se mobilisent et que le GPMM voit son image écornée, cela avance et sans les écolos.Concernant le pitre Suas qui craint pour son poste, il découvre maintenant la valeur d’Atmosud.Depuis sa nomination il ne cesse de deblaterer sur les résultats de cet organisme.Il regrette qu’il n’y ai pas suffisamment de données et affirme en même temps que Marseille est moins polluée qu’ailleurs.Encore un génie celui-ci,du moment u’il s’écoute parler il est content.
Dans tous les cas merci l’UE , et les habitants devraient se tourner plutôt vers Bruxelles que vers la Joliette.
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On va mesurer et puis ? rien comme d’habitude
est ce que le fait de connaitre la composition des fumées va changer quelques choses à la pollution ?
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L’argument qui était , nous n’avons pas de mesures , était faux . Les mesures existent , mais Martel ( GPMM) et SUAS ( club croisières) qui ont une peur bleue des clients s’en servaient pour ne rien faire.Car il faut savoir que pendant que les bateaux de croisières nous polluaient , en plus le GPMM faisait des rabais tarifaires aux compagnies de croisières pour le stationnement des des bateaux à quai.
CQFD
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L’association Cap au Nord a installé, avec l’aide de nombreux citoyens, 10 capteurs le long du littoral marseillais entre la Joliette et l’Estaque. Les résultats annuels dépassent les préconisations de l’OMS.
Vous pouvez consulter en direct les résultats ou heure par heure ou autre à votre convenance sur le site Purple air, choisir alors Marseille.
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