Le corps de Zineb Rédouane, décédée après un tir de lacrymo, reste bloqué à la morgue
Zineb Rédouane est décédée le 12 décembre à l'hôpital après avoir été blessée par une grenade lacrymogène. Depuis lors, son corps reste à la morgue et sa famille n'a même pas pu le voir. Une attente pénible qui retarde l'enterrement et empêche ses proches vivant en Algérie d'obtenir le visa pour la France.
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On attend avec impatience et curiosité les résultats de l’enquête de l’inspection générale de la police nationale. Est-il si compliqué de déterminer qui était « le gardien de la paix » (appellation statutaire des CRS,) qui détenait l’arme, qui a blessé grièvement la pauvre dame ? En principe on est entièrement responsable de son arme, qui vous est remise, contre décharge par l’armurerie.
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On sait tous (ou presque, seuls les médias mainstream font très souvent semblant de l’ignorer) que l’IGPN sert a blanchir les policiers. Voir le dossier exhaustif de Bastamag sur les violences policières :en plus de 40 ans et autant de morts, pas une seule condamnation a de la prison ferme pour ces fonctionnaires “indelicats”. La justice suit souvent l’avis de l’IGPN, qui pointe systématiquement “l’absence de faute” et “le respect du règlement “, y compris en cas d’homicide. Et des homicides, il y en a eu, il y en a et en aura hélas encore. Les policiers bénéficient d’une véritable impunité dans ce pays, quand on voit le traitement médiatique des “violences”des manifestants versus celles de la police….
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