Le calvaire quotidien des locataires d’un immeuble des Flamants squatté à 90%
L'essentiel des 145 appartements du "tripode" des Flamants (14e) sont squattés. Les conditions de vie des derniers locataires, appelés à être relogés, se sont dégradées au fil des mois. Deal, prostitution et insalubrité génèrent des tensions qu'ils n'arrivent plus à supporter.
Le calvaire quotidien des locataires d’un immeuble des Flamants squatté à 90%
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Marseille…
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Marseille !
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Il n’y a pas que Marseille dans cette situation, hélas j’ai envie de dire, ce serait circonscrit à une seule ville… Misère, précarité, chômage, immigration illégale, etc etc, la litanie sans fin des causes s’amoncellent. 160 squats sur 120 logements, il est sûr que Royer-Perreaut nantis de tant casquettes va trouver la solution. Je me demande d’ailleurs si elles existent les solutions…
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Incroyable…comment est ce possible…
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C’est possible car en 25 ans Gaudin et sa bande ont gaspillé l’argent des contribuables marseillais dans des réalisations inutiles: patinoire ,grand stade ,tramway doublonnant avec le métro ,Il a en outre hypothéqué l’avenir en accueillant les JO maritimes
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Le cocktail est complet:
Défaillance insupportable des pouvours publics, qui abandonnent des quartiers dans le dédale de procédures administratives et comptables incompréhensibles, comportements inqualifiables des squatteurs, trafics de toutes sortes … Tant qu’il n’y aura pas de crime, on fermera les yeux sur les trafics, on parlera “d’incivilités “, les bonnes âmes mettront en cause la générosité de ceux qui osent se plaindre quand on ne les accusera pas de “racisme”. Cette situation ne touche pas des nantis mais des personnes qui sont les plus modestes, captives de ces non-lieux abandonnés des pouvoirs publics.
Ce n’est malheureusement pas que marseillais bien que je soupçonne la municipalité précédente d’avoir traîné les pieds pour apporter sa quote part à l’ANRU.
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Si seulement la Ville avait depuis Gaudin imposé 30% de logements sociaux dans toutes les opérations de logements et dans tous les secteurs, à partir de 20 ou 30 logements construits, on n’en serait pas là, et une bonne partie de ces locataires et squatteurs auraient pu être correctement logés, et les projets de réhabilitation avancer plus vite….
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