Alors qu'hier encore, Unilever pensait tourner définitivement la page Fralib, la direction de l'entreprise de Gémenos s'est confrontée ce matin à un dur retour à la réalité. Elle était assignée en justice par les 12 salariés protégés de l'entreprise (les responsables syndicaux), dont le licenciement n'a pas encore été prononcé, qui exigent le paiement de leur salaire, suspendu depuis le 11 mai. Pour se justifier, la direction, hésite encore entre grève ou non exécution du contrat de travail, leur reprochant de ne pas avoir repris l'activité au moment du nouveau blocage de l'usine. Une procédure assez proche de ...
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