La délicate question du harcèlement moral au procès du directeur du service auto de la Ville
Après huit ans d'instruction, le directeur du service auto de la Ville de Marseille, Olivier Proisy, répondait des faits de harcèlement moral à l'encontre de cinq agents municipaux. Le tribunal correctionnel s'est efforcé de tirer au clair la mécanique du harcèlement, sans parvenir à convaincre le procureur.
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Merci pour ce très bel article. Une précision, M. Proisy a obtenu la protection fonctionnelle dès le début de l’affaire et seule une plaignante a pu en bénéficier après. Les autres dont la 1re victime ont essuyé un refus.
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