Grand froid ou pas, certains soirs le Samu social ne sort plus
Alors que la ville connaît une nouvelle période de grand froid, le Samu social qui oriente et transporte les sans-logis jusqu'aux lieux d'hébergement a vu ses maraudes réduites. Il n'opère plus de nuit les week-ends. Une conséquence de la réorganisation des horaires qui a suivi la révélation d'une enquête judiciaire toujours en cours.
Les voitures siglées du Samu social sillonnent la ville chaque nuit. Photo : B.G.
Benoît Gilles
Journaliste
Commentaires
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Nous avons donc un SAMU social qui fonctionne par intermittence, des piscines ouvertes par intermittence, un maire intermittent – et globalement une majorité municipale composée d’intermittents du spectacle. L’intermittence, une autre caractéristique de la “gestion” à la Gaudin.
C’est le moment de relancer le grand concours des “i”…
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Inepte, indigne, inhumain, incohérent, incongru, idiot.
Juste un lancement avec des mots simples…
Nul doute que l’on puisse trouver plus incisif ou plus savant pour qualifier l’inqualifiable.
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Immonde, indescriptible, inénarrable.
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Travailler plus pour moins bien faire.
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article très très grave, beaucoup de propos ultra choquants…..notamment:
« L’administration a refusé pour des questions à la fois financières et d’image.”
quid des concitoyens à la rue?
« Nous avons aussi cessé de pallier les manques des services de l’État dont l’urgence sociale est une des prérogatives directes »
l’Etat? quel état? la Ville de Marseille ne représente donc point l’état? mais qui donc fait la loi dans cette ville, Lucky Luke?
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C’est toujours la faute de l’État à Marseille. Pourtant depuis 1982 et les lois sur la décentralisation, votées par une majorité « socialo – communiste » (quelle horreur !) la ville de Marseille gère elle-même son budget sans que l’État, contraint par le principe de la libre administration des collectivités locales, ne puisse se prononcer sur l’opportunité de certains « investissements”et faire obstacle à leur réalisation. . C’est dans ce contexte qu’on a la ville de Marseille, a décidé aux frais des contribuables, d’édifier un grand stade, ou encore une patinoire dans le cadre d’un coûteux partenariat public privé, plutôt que de rénover les écoles des quartiers pauvres et d’y construire des équipements sportifs. Ancien enseignant d’histoire, notre bon maire a oublié à l’évidence cette maxime de Victor Hugo : « une école qu’on ouvre c’est une prison qu’on ferme ». On a aussi préféré édifier un tramway qui fait double emploi avec le métro, plutôt que d’améliorer la desserte des quartiers populaires où de l’université à Luminy .
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Je reste abasourdi devant cette équipe de béni-oui-oui qui s’enfoncent dans le déni le plus total face à cette situation gérée par des abrutis. Abrutis ayant ici le sens classique “de sans intelligence”.Ga
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Et çà continue dans le cynisme et le foutage de g….. Abrutis n’est pas de trop effectivement.
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Dans cette affaire notre bon maire , catholique revendiqué et pratiquant régulier , ce qui est tout à fait respectable d’ailleurs et notamment dans les valeurs d’aide à son prochain, se faisant photographier pour la revue municipale , alias La Provence, chaque 24 décembre à l’asile de nuit démontrant et affichant ainsi sa bienveillance et sa compassion auprès des déshérités ,se trouve avec ce SAMU social les pieds un peu empêtrés dans le tapis et légèrement en contradiction avec ses valeurs profondes. Mais il n’y est sans doute pour rien , comme pour le reste d’ailleurs. Monsieur ” On” lui fait sûrement des choses à l’insu de son plein gré.
Avouez,il y a quand même dans cette ville un problème profond !
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Allez marauder messieurs à la critique facile vous parlez de chose dont vous ignorez ainsi que cet article très mal documenté
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Venez travailler à l’hôpital, dans la distribution, dans le BTP vous verrez également ce que c’est.
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. Cette organisation du service est surprenante. Le SAMU social est indispensable pendant la période hivernale,. Il a pour mission prioritaire, sauf erreur, d’empêcher que les SDF meurent dans la rue en leur proposant un hébergement ! C’est ce qu’attendent des personnels du SAMU social ,les contribuables humanistes, attachés à ce service public !. Pendant la période hivernale, l’ensemble du personnel doit en priorité « être sur le pont » toutes les nuits les jours de grand froid et prendre son repos le jour. Quitte à ce que des compensations leur soient accordées à la belle saison
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La provence annonce des “heures supplémentaires” pour les maraudes compte tenu du froid, mais ce sont des heures de rattrapage non?
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