Gitans de Mazargues : 40 familles au voyage forcé ?

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le 5 Avr 2011
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Gitans de Mazargues : 40 familles au voyage forcé ?
Gitans de Mazargues : 40 familles au voyage forcé ?

Gitans de Mazargues : 40 familles au voyage forcé ?

La cour d’appel d’Aix-en-Provence prononcera jeudi sa décision d’expulser ou non quarante familles tsiganes qui résident dans des caravanes et mobiles-homes sur le terrain d’Eynaud (9e). La plainte avait été déposée en 2010 par Adoma, gestionnaire du site pour le compte de la mairie de Marseille. La société d’économie mixte évoque le non-respect des règles de sécurité en s’appuyant sur une note de la direction générale des services incendies de la ville du 20 novembre 2006. Les constructions empiètent sur un tiers de la voirie, ce qui rend l’évacuation difficile en cas d’incendie. « Si un feu se déclare, les habitants sont pris au piège. Nous voulons éviter une tragédie », se défend Michel Bourgat, adjoint ...
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Commentaires

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  1. jexprime jexprime

    Quelle horreur….
    Un camp de gitans dans le secteur municipal du sieur Teissier.
    Vite, des buldozers pour chasser tout ça..et vite !!!

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  2. ose13 ose13

    “des buldozers pour chasser tout ca ” non mais pour ecraser ta cervelle d ignorant oui surement ” j exprime ” …. n importe quoi!!!!!

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  3. doudou doudou

    il ne géné personne c propre autour ils veulent juste le terrain pour construire allez voir un peu sur plombiere les bidon ville de toutes les couleurs en les maisons de particuliers

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  4. liseron duveteux liseron duveteux

    Le bulldozer,c’est un Caterpilar…
    c’est la meilleure marque

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  5. couri24 couri24

    Que doit on faire?
    Les expulsés et les reloger à côté de chez moi,dans l’appart voisin?
    En embaucher dans nos entreprises,inscrire leurs enfants dans les mêmes classes que nos enfants,et les accepter comme beaux fils et belles filles………aller pour mois c’est ok.
    Et pour vous autres?
    C’est gens sont là depuis longtemps et jamais il n’y a de problème,certes la sécurité en cas d’intervention des secours n’est pas assurée,trouvons une solution pour qu’ils puissent rester là ou ils semblent être bien.

    Ricou 24

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  6. jb jb

    courage, que dire d’autres!!!!

    courage mes amis de galere,

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  7. couri24 couri24

    De toute façon cher Liseron il va faut trouver une solution pour que le site soit en sécurité et les gens pas dans la rue.

    Ricou 24.

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  8. DALLO DALLO

    Sincèrement, à part Ricou, qui a envie de vivre à coté d’un camp de romanichels ? (ce qui pose d’ailleurs la question de savoir où créer de nouvelles zones d’accueil pour les gens du voyage : Saint-Barnabé, Allauch, Château-Gombert, La Pointe Rouge, Malmousque LOL???) Et demandez aux riverains de Mazargues ce qu’ils en pensent …

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  9. DALLO DALLO

    Sinon, les gitans pourraient aller squatter la villa du grand ami de Ricou, ce brave Alex, dans le 7ème : piscine intérieure, extérieure, salle de cinéma etc. Ils auraient de la place pour la marmaille et on sait bien que les gauchistes sont tellement généreux avec leur prochain… LOL !!!

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  10. Philippe de Marseille Philippe de Marseille

    Ce qui empêche les gens de vivre ensemble c’est leur connerie, pas leurs différences.

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  11. Jean-Paul KOPP Jean-Paul KOPP

    La Cour d’Appel d’Aix-en-Provence vient d’infirmer le jugement rendu en première instance.
    Cette décision annule donc la procédure d’expulsion en cours en considérant qu’il n’y avait pas urgence et que le juge des référés saisi par Adoma n’était donc pas compétent.

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  12. La Bamba Triste La Bamba Triste

    Quant à provoquer la discussion, autant le faire de façon constructive, et pourquoi pas éviter les confusions phrase après phrase. Passer d’une superficielle considération juridique avec tout le lot de banalités autour de la démocratie, pour ensuite dénoncer par un syllogisme fébrile une gauche “bien pensante” tout en pratiquant des amalgames plus que douteux entre code génétique et comportement humain me semble desservir vos propos.
    Votre a priori sur les gitans dont vous paraissez convaincu continue la parade; il peut servir tout au plus d’exprimer vos ressentis et votre avis mais en aucun cas d’une véritable réflexion a posteriori.
    Veuillez donc bien accepter ma juste exaspération à la lecture de votre tentative de discussion qui je l’espère n’avait aucune prétention de contenir une once de réflexion, mais je vous l’accorde, peut-être du vécu.
    A bon entendeur,

    Pierre Billon

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  13. Tresorier Tresorier

    Honnêtement, je n’ai rien compris à l’histoire.

    Primo, ce n’est pas une affaire de gitans. On change la population, le problème reste le même.

    Deuxio, a quel titre occupent-ils ce terrain (locataire, squatteur,….) et a qui appartient-il ?

    Tertio, le propriétaire veut récupérer son bien, après préavis. Que le locataire occupe le bien depuis 40 ans ne change rien à l’affaire, sinon le droit de propriété n’existe plus.

    Les trois seules limites à la résilitation du bail sont à ma connaissance : loi 1948 (ca ne doit pas être le cas), plus de 65 ans (possible), obligation de proposer la vente aux locataires avant toute vente.

    Donc, l’expulsion me semble légale (je ne parle pas ici de moralité).

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  14. Vieux Patriote Républicain Vieux Patriote Républicain

    Les Français oublient vite ,et on peut faire un parallèle entre ces personnes et les petits ramoneurs savoyards qui émigraient jusqu’au début du siécle précèdent et jusqu’à des lois sociales interdisent le travail des enfants Il est certain que le démantèlement des industries à Marseille qui procuraient un salaire régulier a stoppé l’ascension sociale et parqué dans des ghettos une partie de la population

    L’exil des petits miséreux

    Les petits ramoneurs qui exerçaient leur métier en France étaient originaires de Savoie, région qui jusqu’en 1860 fut italienne, ou plutôt sarde. En patois savoyard, on les appelait “farias”, et “ramonas” dans le langage populaire du XIXe siècle. Les villages de montagne, qui en fournissaient le plus fort contingent, étaient particulièrement pauvres. Climat rude, sol difficile à travailler, familles nombreuses, telles étaient les raisons d’une importante émigration enfantine, temporaire ou définitive, vers des provinces plus riches. Un vieux Savoyard, dont le père était parti comme ramoneur en 1905, évoque ce passé misérable :

    «

    Il n’y a pas si longtemps – il y a cent ans – on était ce que vit le tiers-monde aujourd’hui : on était dans ces conditions de pauvreté, les paysans savoyards de la montagne, avant que l’industrie s’installe

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