En difficultés économiques, La Marseillaise perd son prix Albert-Londres

À la une
le 21 Juil 2014
11
En difficultés économiques, La Marseillaise perd son prix Albert-Londres
En difficultés économiques, La Marseillaise perd son prix Albert-Londres

En difficultés économiques, La Marseillaise perd son prix Albert-Londres

Prix Varenne en 2012, prix Albert-Londres en 2014, le journaliste de La Marseillaise, Philippe Pujol, prépare ses cartons. Le quotidien, en difficultés économiques, licencie son fait-diversier spécialisé dans les réseaux de trafic de drogue, de même qu'un de ses collègues des sports. L'intéressé ne cache pas qu'il envisageait un départ à moyen-terme et n'est "pas […]
Vous voulez lire la suite ?
Abonnez-vous à Marsactu

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. Anonyme Anonyme

    Il faut que la Marseillaise passe le cap.
    Malgré sa ligne éditorialiste dur et dépassée on a besoin de ce point de vue et d autres vérités.

    La Provence ne peut pas être le seul organe de pensée sur Marseille ,sa région et une partie de la Provence.

    Signaler
  2. Correcteur bénévole Correcteur bénévole

    Faute d’orthographe à impacter.

    Signaler
  3. GARLABAN GARLABAN

    Chronique d’une mort annoncée, malgré l’obstination des derniers résistants. Depuis cinq ans, la rédaction n’a pu qu’à de trop rares occasions traiter l’affaire Guérini, en raison du poids des budgets du CG 13 qu’il ne fallait pas importuner… Dommage, ce journal a été un vrai journal.

    Signaler
  4. Electeur du 8e Electeur du 8e

    La presse d’opinion, engagée, critique, dérangeante, a bien du mal dans cette région face au rouleau compresseur de la facilité, du fait divers et de l’eau tiède consensuelle. Outre La Marseillaise, Le Ravi est passé récemment pas loin de la disparition pure et simple, et je ne suis pas sûr que le modèle économique de Marsactu soit bien assuré.

    Peut-être ce paysage un peu dévasté dans l’information locale n’est-il pas pour rien dans le manque de recul de beaucoup d’électeurs et dans le résultat des consultations électorales…

    Signaler
  5. Anonyme Anonyme

    Pas sur qu’il y ait un quelconque avenir pour cette presse là. Quand on est consensuel à ce point : jamais dire du mal de Renault, du charbon, du nucléaire, des chasseurs, de Martigues, des syndicats et salariés de la SNCM, du Port Autonome, des dockers, de trop de patrons , des commerces surtout si ce sont des grandes surfaces, de Gardanne, de Guérini i tutti cuanti, quand il n’y a plus de journalistes, que le site Internet est indigent, ces feuilles de papier encrées même distribuées gratuitement ne trouveraient pas de lecteurs…

    Signaler
  6. Anonyme Anonyme

    Question conne… mais peut-être quelqu’un (du site) me répondra ? Où en est Marsactu du point de vue de ses propres comptes et de son équilibre financier ? Ceux publiés dans les mention légales s’arrêtent à 2012 ? En 2013, le pureplayer visait les 350 000 euros de chiffre d’affaire pour “tangenter l’équilibre”. On en est où ?

    Signaler
  7. JL41 JL41

    Non la Provence ne peut pas être le seul organe de presse sur Marseille. On y parle davantage des vacances des élus, qu’on laisse les gogos largement commenter, que des déclarations d’intérêts des parlementaires : articles rapidement escamotés, non ouverts aux commentaires ou aux commentaires immédiatement censurés : http://www.laprovence.com/article/actualites/2975978/parlement-10-des-elus-dans-le-prive.html
    Le commentaire censuré : D’après Médiapart, ce sont même 20 % des députés qui emploient un membre de leur famille. « La plupart des députés assument, bravaches. D’autres bafouillent au téléphone. D’après une enquête de Médiapart, en 2014, au moins 115 députés (sur 577) ont salarié un membre de leur famille, en CDD ou CDI, sur un temps plein ou partiel. Huit élus sont même allés jusqu’à rémunérer deux de leurs proches. » : http://www.mediapart.fr/journal/france/270714/lassemblee-remunere-52-epouses-28-fils-et-32-filles-de-deputes-en-2014

    Signaler
  8. Grabouille Grabouille

    Il y a bien longtemps que la Marsellaise aurait dû occuper la place de l’expression de toute la gauche dans sa diversité NPA PCF PG PS EELV. Et trouver les compromis de gouvernance adaptés.
    Il n’est peut-être pas trop tard ?

    Signaler
  9. Anonyme Anonyme

    pourquoi ne pas vendre le siège du vieux port (à moitié vide et en ruine, il n’y a qu’à voir sa magnifique façade défraîchis comme un squat, une pustule dans un quartier ultra touristique) , se re-localiser en zone franche (bien moins chère) et faire imprimer La Marseillaise par les rotatives de La Provence qui ne tournent pas à plein (loin de là d’ailleurs). c’est ça des ECONOMIES!!! ces idées furent repousser par le groupe il y à près de 15 ans pour ces foutus raisons : “locaux du Petit Marseillais, investi par les résistants à la Libération.” on en rediscutera lors du convoi funèbre…..

    Signaler
  10. Tresorier Tresorier

    Fondamentalement, le probleme des mediad est que :

    – les divers canaux se concurrencent (papier, radio, TV, internet,…) ;
    – l’information est consideree comme gratuite par la population ;
    – le niveau de vie en baisse et le choix des habitants dans l’allocation de leurs revenus entre les depenses ne favorise pas la presse (comme la nourriture, les habits, …..) ;
    – l’information locale de qualite est rare. Marsactu est le meilleur site d’info locale et de debat local.

    Je salue JL 41 pour l’occasion.

    Signaler
  11. Anonyme Anonyme

    Voici encore trente ans, la presse Marseillaise était pluraliste d’opinion avec Le Méridional à droite, Le Provençal au milieu et La Marseillaise communiste. Déjà La Marseillaise souffrait et Le Méridional était prêt à mourir. Le Provençal, quant à lui, est devenu invertébré et a changé de nom.
    Par dessus, la crise de la presse papier est survenue qui n’a rien arrangé.
    Or, il suffit de regarder attentivement l’histoire de la presse pour constater que lorsqu’un média est en perte d’audience il a tendance à faire n’importe quoi (et souvent le pire) pour tenter de s’accrocher. Ce qui accélère sa chute.
    La déconfiture de la presse marseillaise n’est pas un cas isolé. Nice-Matin, par exemple, très florissant du temps de Bavastro est encore plus mal en point. L’avenir est sombre pour le papier. Y compris pour le livre traditionnel. Pour s’en convaincre, il suffit d’aller sur eBay et de noter le prix des bouquins. J’ai acheté, il y a peu, une superbe édition reliée des œuvres complètes de Corneille pour 9,90 €.L’ouvrage était comme neuf. A sa sortie en librairie, il valait plus de 100 €.
    Tout est dit.

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire