En difficultés économiques, La Marseillaise perd son prix Albert-Londres
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Commentaires
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Il faut que la Marseillaise passe le cap.
Malgré sa ligne éditorialiste dur et dépassée on a besoin de ce point de vue et d autres vérités.
La Provence ne peut pas être le seul organe de pensée sur Marseille ,sa région et une partie de la Provence.
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Faute d’orthographe à impacter.
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Chronique d’une mort annoncée, malgré l’obstination des derniers résistants. Depuis cinq ans, la rédaction n’a pu qu’à de trop rares occasions traiter l’affaire Guérini, en raison du poids des budgets du CG 13 qu’il ne fallait pas importuner… Dommage, ce journal a été un vrai journal.
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La presse d’opinion, engagée, critique, dérangeante, a bien du mal dans cette région face au rouleau compresseur de la facilité, du fait divers et de l’eau tiède consensuelle. Outre La Marseillaise, Le Ravi est passé récemment pas loin de la disparition pure et simple, et je ne suis pas sûr que le modèle économique de Marsactu soit bien assuré.
Peut-être ce paysage un peu dévasté dans l’information locale n’est-il pas pour rien dans le manque de recul de beaucoup d’électeurs et dans le résultat des consultations électorales…
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Pas sur qu’il y ait un quelconque avenir pour cette presse là. Quand on est consensuel à ce point : jamais dire du mal de Renault, du charbon, du nucléaire, des chasseurs, de Martigues, des syndicats et salariés de la SNCM, du Port Autonome, des dockers, de trop de patrons , des commerces surtout si ce sont des grandes surfaces, de Gardanne, de Guérini i tutti cuanti, quand il n’y a plus de journalistes, que le site Internet est indigent, ces feuilles de papier encrées même distribuées gratuitement ne trouveraient pas de lecteurs…
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Question conne… mais peut-être quelqu’un (du site) me répondra ? Où en est Marsactu du point de vue de ses propres comptes et de son équilibre financier ? Ceux publiés dans les mention légales s’arrêtent à 2012 ? En 2013, le pureplayer visait les 350 000 euros de chiffre d’affaire pour “tangenter l’équilibre”. On en est où ?
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Non la Provence ne peut pas être le seul organe de presse sur Marseille. On y parle davantage des vacances des élus, qu’on laisse les gogos largement commenter, que des déclarations d’intérêts des parlementaires : articles rapidement escamotés, non ouverts aux commentaires ou aux commentaires immédiatement censurés : http://www.laprovence.com/article/actualites/2975978/parlement-10-des-elus-dans-le-prive.html
Le commentaire censuré : D’après Médiapart, ce sont même 20 % des députés qui emploient un membre de leur famille. « La plupart des députés assument, bravaches. D’autres bafouillent au téléphone. D’après une enquête de Médiapart, en 2014, au moins 115 députés (sur 577) ont salarié un membre de leur famille, en CDD ou CDI, sur un temps plein ou partiel. Huit élus sont même allés jusqu’à rémunérer deux de leurs proches. » : http://www.mediapart.fr/journal/france/270714/lassemblee-remunere-52-epouses-28-fils-et-32-filles-de-deputes-en-2014
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Il y a bien longtemps que la Marsellaise aurait dû occuper la place de l’expression de toute la gauche dans sa diversité NPA PCF PG PS EELV. Et trouver les compromis de gouvernance adaptés.
Il n’est peut-être pas trop tard ?
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pourquoi ne pas vendre le siège du vieux port (à moitié vide et en ruine, il n’y a qu’à voir sa magnifique façade défraîchis comme un squat, une pustule dans un quartier ultra touristique) , se re-localiser en zone franche (bien moins chère) et faire imprimer La Marseillaise par les rotatives de La Provence qui ne tournent pas à plein (loin de là d’ailleurs). c’est ça des ECONOMIES!!! ces idées furent repousser par le groupe il y à près de 15 ans pour ces foutus raisons : “locaux du Petit Marseillais, investi par les résistants à la Libération.” on en rediscutera lors du convoi funèbre…..
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Fondamentalement, le probleme des mediad est que :
– les divers canaux se concurrencent (papier, radio, TV, internet,…) ;
– l’information est consideree comme gratuite par la population ;
– le niveau de vie en baisse et le choix des habitants dans l’allocation de leurs revenus entre les depenses ne favorise pas la presse (comme la nourriture, les habits, …..) ;
– l’information locale de qualite est rare. Marsactu est le meilleur site d’info locale et de debat local.
Je salue JL 41 pour l’occasion.
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Voici encore trente ans, la presse Marseillaise était pluraliste d’opinion avec Le Méridional à droite, Le Provençal au milieu et La Marseillaise communiste. Déjà La Marseillaise souffrait et Le Méridional était prêt à mourir. Le Provençal, quant à lui, est devenu invertébré et a changé de nom.
Par dessus, la crise de la presse papier est survenue qui n’a rien arrangé.
Or, il suffit de regarder attentivement l’histoire de la presse pour constater que lorsqu’un média est en perte d’audience il a tendance à faire n’importe quoi (et souvent le pire) pour tenter de s’accrocher. Ce qui accélère sa chute.
La déconfiture de la presse marseillaise n’est pas un cas isolé. Nice-Matin, par exemple, très florissant du temps de Bavastro est encore plus mal en point. L’avenir est sombre pour le papier. Y compris pour le livre traditionnel. Pour s’en convaincre, il suffit d’aller sur eBay et de noter le prix des bouquins. J’ai acheté, il y a peu, une superbe édition reliée des œuvres complètes de Corneille pour 9,90 €.L’ouvrage était comme neuf. A sa sortie en librairie, il valait plus de 100 €.
Tout est dit.
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