Des périls imminents au problème de fond du logement indigne, l’État se pose en chef de file
Le ministre du logement Julien Denormandie annonce un partenariat renforcé au ton ferme pour résoudre la crise qui a poussé plus de 1500 personnes hors de leur logement. Les mesures qu'il annonce s’attellent à répondre à l'urgence du relogement, de l'expertise des bâtiments évacués comme au long terme d'une politique partenariale dont les contours restent à définir.
sous les casques, julien Denormandie visite la rue d'Aubagne en compagnie d'Arlette Fructus.
Commentaires
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Symptôme de la confusion des rôles et du cumul, quand Madame Vassal a fait une conférence de presse sur ce qu’allait faire la Métropole, le soir l’information se trouvait sur le site du Conseil Départemental et rien sur celui de la Métropole !
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Arlette Fructus est invitée à quel titre?
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Le ton ferme du ministre, qui prone un partenariat renforcé, dissimule plutôt une mise sous tutelle administrative de ville et de la Métropole afin que les mesures conservatoires de sécurité sur les immeubles évacués soient mises en oeuvre dans les meilleurs délais. L’Etat a apparemment sorti une artillerie technique adaptée pour pallier l’incurie sourde des pouvoirs publics territoriaux.
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Oui en effet. On se le demande. Represente-t-elle le maire ? En tout cas elle paraît satisfaite de sa fonction alors qu’elle est chargée du logement et de la rénovation urbaine dont on connaît les résultats. Vraiment hors sol pour combien de temps encore.
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Mon message précédent fait suite à celui concernant Mme Fructus.
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Si vous faites allusion à la photo Mme fructus est que je sache toujours présidente de Marseille habitat (propriétaire du 63 rue d’aubagne), adjointe au logement, vice présidente métropolitaine à la politique de la ville et l’habitat et présidente Marseille Rénovation Urbaine. Donc oui, elle est un tout petit peu concernée…
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La non mise sous tutelle de la ville dans ce douloureux dossier n’est pas annoncée , mais mise en place de fait.
Question pourquoi ?.
Réponse : les Municipales , il ne faut pas totalement griller les nuls en place pour un éventuel accord entre LREM et les nuls pour Marseille.
On ne flingue pas Vassal pour l’avenir et on dézingue uniquement les plus vieux.
C’est ce que l’on appelle la “nouvelle cuisine”.
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Compte tenu de la politique Macron néfaste au logement social cela promet encore beaucoup d’argent pour les groupes bancaires
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on aurait tant aimé que cette pugnacité de M. Gilles envers la mairie en place soit la même quand il faisait ses classes à la Marseillaise et qu’il ne vît rien venir au sujet de mafias prenant le contrôle de plusieurs collectivités locales.. un problème de subvention peut-être…
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Ce genre de petits procès d’intention à l’encontre d’un journaliste a-t-il sa place dans les commentaires ? On aurait tant aimé que cette pugnacité se traduise plutôt par une discussion en face à face avec l’intéressé, s’il y a matière à discuter.
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