Ce que la réforme du mode de scrutin changerait pour les municipales 2026 à Marseille
Dernière ligne droite au Parlement pour la réforme de la loi PLM, qui régit le mode de scrutin pour les municipales à Marseille. Ce lundi 7 juillet, l'Assemblée nationale a de nouveau adopté la proposition de loi. Malgré l'opposition du Sénat, le gouvernement devrait donner le dernier mot aux députés pour mettre en place ces nouvelles mesures dès les élections de 2026.
Un bureau de vote marseillais en 2022.(Photo : Emilio Guzman)
Commentaires
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La droite finish si ça passe
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Seuls les élu.e.s au Conseil de Métropole étaient fléché .e.s
Les élu.e.s au Conseil municipal étaient selon leur place sur la liste en Conseil de secteur.
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Merci pour cet article bien clair.
Ça doit remuer tout le marigot politique marseillais, chacun doit faire ses calculs dans son coin…
Ce qui est curieux c’est la division de la droite sur ce sujet, certains votant pour (notamment à l’assemblée), d’autres militant contre (notamment au Sénat).
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10% d’élus en plus. Les places sont bonnes.
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Malheureusement le millefeuille n’a pas été aminci. Le seul intérêt de ces nano mairies de secteur ne sera plus que d’être une caisse de résonnance politique pour de nano personnages politiques qui vont continuer à nous coûter un pognon de dingue. Aucun rapport avec la démocratie. Caramba, encore raté.
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Et Lionel Royer-Perreaut pourra continuer de dire que, puisque le 9-10 a élu telle majorité, ce sont les projets de celle-ci qui s’imposent à la majorité municipale : cf. le BUS. Comme s’il n’y avait pas une ville, mais une juxtaposition de petits fiefs.
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Dès lors que seuls les élus au Conseil municipal (111) peuvent également être fléchés au Conseil métropolitain (102 pour Marseille), cela va aussi changer les choses dans la distribution des mandats au sein des partis. Le fait d’être conseiller métropolitain jouait souvent un rôle de rattrapage pour celles et ceux qui n’avaient pas de place éligible sur la liste des municipales.
pourra-t-on être à la fois élu au CM et dans un Conseil d’arrondissements ? Ou la présence sur une liste exclut la présence sur l’autre ?
Si c’est le cas, le maire de secteur d’arrondissements ne siègera donc ni au CM, ni à la Métropole. Mieux vaudrait avoir des instances de concertation par arrondissement détachées de tout cela. Les Conseillers d’arrondissements qui ne servaient déjà pas à grand chose et étaient recrutés avec peine, ne serviront définitivement plus à rien et vont être encore plus difficile à recruter et à faire siéger.
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Merci, l’article est clair.
Plus qu’à espérer la tant attendue réforme du scrutin de l’élection métropolitaine. Et -rêvons toujours- nous voterons trois fois, le même jour, pour trois projets clairs, chacun à son échelle : proximité, ville, aire métropolitaine
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Vous faites référence à des élections métropolitaines. Or ce scrutin ne peut pas exister en tant que tel, la métropole étant un EPCI et non une collectivité territoriale. Il ne peut donc pas y avoir d’élection directe, sauf à modifier son statut.
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