Plus d’un million d’euros pour évacuer les gravats des immeubles effondrés rue d’Aubagne
Le lieu des effondrements, en cours de déblaiement fin 2018. (Image VA)
1,135 millions d’euros. C’est la somme qui est évaluée par la ville pour évacuer les gravats des immeubles effondrés de la rue d’Aubagne en novembre 2018, entreposés provisoirement sur un terrain appartenant à Euroméditerranée dans le quartier des Crottes (15ème arrondissement). Cette information apparaît dans un rapport qui sera présenté au conseil municipal ce lundi 27 janvier, consulté par Marsactu.
Les déblais étaient “conservés aux fins d’instruction judiciaire” sur ce terrain situé au 23 rue de Vintimille. Des mesures levées au 30 septembre 2019. L’utilisation de ce terrain pour le stockage ralentissait les opérations prévues par l’établissement public d’aménagement, notamment “la réalisation d’un collège privé et de déviation de réseaux primaires d’électricité induite par le prolongement de la ligne de tramway”.
Pour cette l’opération dite de “retrait” : “le budget prévisionnel est estimé à 1 135 000 Euros HT comprenant notamment le conditionnement, le transport et l’enfouissement de 2 600 m3 de déchets amiantés, des sondages complémentaires ainsi que les honoraires de maîtrise d’œuvre”, précise le texte qui sera soumis aux voix des conseillers municipaux pour la dernière séance de l’ère Gaudin. Ce montant sera pris en charge par la Ville en attendant un remboursement par l’État.
Commentaires
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Les assurances servent à quoi dans ce cas là?
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Tiens, il y avait un projet de construction scolaire : pour un collège privé, oh quoi, mon collègue, on parle de choses sérieuses !
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2600 m3 rue de Vintimille ? Ça s’était avant que les entreprises du bâtiment peu scrupuleuses en rajoute 1000 m3. ce coin là est une véritable décharge sauvage à ciel ouvert.
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Certes ces travaux de déblaiement vont coûter « un pognon de dingues » aux contribuables. Alors combien vont leur coûter les travaux de requalification du cours Liautaud il s’agit du pavage de la chaussée, du ravalement des façades, de la plantation d’arbres etc. La nuit ces travaux ne sont ni éclairés ni signalés « En même temps » certaines rues latérales sont barrées pour cause d’immeuble menaçant ruine. Ces travaux effectués en période électorale pour la plus grande gloire de Madame Vassal Ils rappellent les ravalements de façade des isbas , qu’avait faits réaliser le prince Potemkine ( cf. Wikipédia )pour en mettre plein la vue à sa tendre amie Catherine II impératrice de Russie qui parcourait la Russie. Depuis on parle de « village Potemkine ».
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Martine tsarine de Provence ?
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Ce qui peut paraitre comme inquiétant, c’est la justification du cout, savoir la présence d’amiante dans les gravats… Qui dispose de photos ou vidéo de l’état de cette décharge “a ciel ouvert” et du dispositif de sécurisation? Car si des “riverains” ont jeté des ordures, gravats autres, …il se peut que l’amiante provienne de ceux-ci et non des décombres…
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