Michel Drucker gagne le 2e round dans les Alpilles
L'affaire empoisonne depuis plusieurs années les balades en vélo de l'animateur dans les Alpilles : le permis de construire de sa villa avec piscine à Eygalières (la troisième) n'a pas été validé par l'architecte des bâtiments de France, motivant la Ligue des Alpilles à l'attaquer devant le tribunal administratif. Lequel avait donné raison à ces défenseurs du paysage, qui soulignaient notamment que la maison se situait à quelques encablures d'une chapelle inscrite aux monuments historiques. Ça n'a pas empêché les travaux de se poursuivre, le maire n'ayant pas jugé bon d'ordonner de les interrompre, comme lui avait demandé le tribunal.
Dans la foulée du rapporteur public, la cour administrative d'appel a cette fois-ci donné raison à l'animateur : "Cet arrêt met un terme à toutes les accusations ou insinuations de fraude ou de passe-droits, ce que le procureur de la République de Tarascon avait déjà officiellement constaté", se sont félicités dans un communiqué ses avocats Jean-Pierre Mignard et Sébastien Mabile. Un terme ? Pas encore. Si Drucker "n’entamera aucune procédure de nature à réalimenter une polémique qui a déjà fait assez souffrir les fonctionnaires mises en cause, lui-même et ses proches", la Ligue des Alpilles devrait de son côté porter l'affaire devant le conseil d'Etat.Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Commentaires
0 commentaire(s)
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.