Marsactu vous souhaite une heureuse année 2016
Toute l’équipe de Marsactu vous souhaite une belle et heureuse année 2016 !
Pour nous, 2016 s’annonce riche en promesses comme en défis, après des mois consacrés à la reconstruction de notre journal en ligne. Juste avant les fêtes, nous avons lancé la formule sur abonnement pour faire vivre Marsactu en toute indépendance, grâce au soutien de ses lecteurs. C’est ce pari qui occupera l’année à venir !
Mais avant de démarrer l’année sur les chapeaux de roue, nous vous proposons pour ce week-end de fête une sélection des articles les plus marquants parus sur Marsactu depuis notre retour à l’automne : ce sont nos “Morceaux choisis”.
Dès lundi, l’équipe sera de nouveau présente au complet pour reprendre le suivi de l’actualité et vous proposer de nouveaux articles.
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Commentaires
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Bonne année à toute l’équipe de Marsactu, et surtout bon succès dans votre entreprise de relance du titre, indispensable à la démocratie locale.
J’en profite pour suggérer la lecture d’un petit livre qui, bien qu’il raconte une fuite tragique entre 1940 et 1943, donne aussi de l’espoir. Par ces temps troublés, lire un texte lumineux, non dénué d’humour, écrit dans une belle langue, qui donne à voir une France attachée à la liberté et à la justice, ne peut pas faire de mal. Il s’agit de Rien où poser sa tête, de Françoise Frenkel, paru chez L’Arbalète/Gallimard. On peut en trouver une critique ici : http://next.liberation.fr/livres/2015/10/14/rien-ou-poser-sa-tete-la-fuite-francaise-de-francoise-frenkel_1404010
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Merci à l’équipe de Marsactu pour ses vœux.
Tous les miens pour qu’en 2016 ce journal connaisse des succès et nous intéresse chaque jour.
2015 est mort.
Tous ces événements qui au cours de cette vilaine année passée nous aurons marqué profondément il nous faudra les rendre porteurs d’actions et d’espoirs.
Que cette année qui s’ouvre tire profit de l’analyse de ces faits passés.
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J’aimerais, parmi mes amis, avoir un Julijo qui ait trouvé des mots aussi pertinents pour me dire ce qu’il souhaite pour moi en 2016. Et pour Marsactu, autant copier Julijo : « qu’en 2016 ce journal connaisse des succès et nous intéresse chaque jour ».
On se croise de temps en temps, parfois d’accord, parfois pas, ainsi va la tolérance qui s’installe dans Marsactu et qui le distingue de sites voisins et concurrents, où personne ne vient commenter. Et pourquoi commente-t-on ici ? Une hypothèse : ce n’est souvent pas loin de ce que nous pensons lorsque nous entrons dans le sujet d’un article, mais nous avons les uns et les autres un petit grain de sel décapant à ajouter qui fait évoluer nos analyses et déplacer nos préjugés. Le monde de la pensée est par les temps qui courent (de plus en plus vite), en reconfiguration permanente. Il faut faire un effort pour avoir une lecture du réel qui se rapproche de la prise que nous aimerions avoir sur lui. Et du plaisir à trouver en le vivant tous les jours, parfois loin des rationalités explicatives.
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Bon, quitte à faire un peu néo réaliste, souhaitons nous simplement et crûment une année moins pire que la précédente; c’est pas gagné ! Et pour Marsactu, nos meilleurs voeux et, le meilleur parmi les bons : que l’espace créé par vos pertinences, vos impertinences et autres investigations, puisse nous aider à construire des intelligences communes qui nous permettent de mieux comprendre le film qu’on nous a programmé, et d’en être le moins possible les acteurs involontaires… C’est pas gagné non plus. Le risque est grand de ne rien trouver ‘où poser sa tête”, et le beau texte de Françoise Frenkel montre surtout, outre de beaux témoignages de dignité et de solidarités spontanées, la difficulté à saisir, en tous cas à dire, les enjeux collectifs, le refus d’être soi même une victime comme seule (mais essentielle) réaction de dignité, et la stupéfaction sidérante de la plupart des gens qui voient le jamais vu, jamais imaginé jamais pensé : des gens raflés dans la rue, au marché, parce qu’ils sont … ( à l’époque c’était juif… ). Ce qui ne dément en rien le bon conseil de lecture d’Electeur du 8ème. Difficulté à trouver où poser sa tête que ce soit dans le contexte international, national, régional et “territorial”(!) et même sur cet espace d’information et de débat si m’en croyez. Mais cela ne fait que redoubler et amplifier le voeu de créer un espace d’intelligences communes, seule arme, au demeurant bien pacifique, contre ces contextes cumulés et quelque peu mortifères. ” A l’an que ven, et si nous ne sommes pas plus, que nous soyons pas moins” !
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