L’IGPN saisie après une plainte pour violence policière à Marseille
Le procureur de la République de Marseille a ouvert une enquête pour violence par personne dépositaire de l’autorité et saisi l’IGPN, la police des polices, annonce Le Figaro. Cette saisine fait suite à un dépôt de plainte, révélé par La Marseillaise.
En marge d’une manifestation contre la tenue d’une conférence de l’ex-Manif pour tous qui s’est déroulée le 1er février dernier, un manifestant aurait “aspergé de gaz lacrymogène les policiers, qui en retour lui auraient asséné un coup de poing, avant d’être exfiltrés par leurs collègues en uniforme”, relate La Marseillaise. Blessé à l’œil, l’homme a subi une fracture du plancher orbital. Il assure que les policiers – en civil – n’étaient pas identifiés comme tels.
Source : Le FigaroCommentaires
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la violence policière n’existe pas
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La preuve l’ IGPN ne va pas la voir
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n’empêche que l’igpn était il y a ….5ans, un service tranquille ou certains gradés finissaient leur temps, ca a bien changé., depuis les gilets jaunes.
la violence policière n’existe pas, mais ils ont un sacré boulot, avec toutes les plaintes. au bord du burn-out, l’igpn.
surtout qu’ils doivent en plus, instruire à décharge certaines affaires, qu’ils classent évidemment, ce qui prouve facilement à la population des plaignants qu’ils ne servent à rien ! dure la vie !
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Donc les policiers ne sont pas identifiables mais le manifestant les asperge de gaz lacrymogène. F*ck Around and Find Out comme on dit.
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C’est ainsi qu’agit la police de Macron et de sa bande organisée. Révoquons le lui et sa soi disant “Renaissance”.
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