Le Parc de Calanques dénonce la multiplication de dépôts de déchets sauvages
Le Parc national des Calanques alerte sur une “recrudescence” de dépôts sauvages au cours des dernières semaines, malgré le confinement. Il annonce renforcer les contrôles sur le terrain. Des cas de dépôts de déchets mobiliers, déchets verts, mais aussi des gravats et des matériaux de construction ont été constatés. Quatre procédures ont ainsi déjà été lancées par la police de l’environnement du Parc, qui mèneront, après instruction, très probablement à des amendes. Le Parc indique qu’au terme de ces enquêtes, ces dossiers seront transmis à la procureure de la République.
😡Le @ParcCalanques déplore une recrudescence des dépôts sauvages dans les Calanques ! Les déchetteries pour les professionnels restent pourtant ouvertes… Le Parc a décidé de renforcer la pression de contrôle. Plusieurs procédures ont été ouvertes. + : https://t.co/8qkEvENPsg pic.twitter.com/ZH740f6y8c
— Parc national des Calanques (@ParcCalanques) April 10, 2020
Commentaires
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Les saloperies que ces salopards infligent à notre environnement montrent qu’ils ne sont même pas capables de penser au paysage qu’ils laisseront à leurs propres enfants. Il faudra un jour que les auteurs d’un de ces dépôts de déchets écopent d’une peine historiquement sévère, pour l’exemple. Sans pitié.
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1- Le nombre de déchetteries est très insuffisant, il en faudrait de 2 à 3 fois plus. Sont-elles restées ouvertes du fait du confinement ?
2- Les peines sont certainement pas dissuasives. Au fait que que risquent-ils, 135 Euro ?
3- Cela procède de la même logique que le travail au noir. On va embaucher des jeunes non déclarés qui font le pied de grue rue du Capitaine Gèze pour ne pas payer la main d’œuvre, on ne paye pas de taxes alors payer pour l’évacuation des déchets … On préfère les déposer à un arrêt de bus. Le secteur du Capitaine Gèze est d’ailleurs, là encore, en première ligne. Les gravats s’amoncellent aussi en ce moment le long du boulevard du littoral.
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Si on y ajoute les particuliers qui brûlent leur déchets de taille de haie, ça va finir en champ de ruine.
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Pas de déchetteries à Marseille ,et les existantes ont été fermées ( exemple rue Junot 3 ème arr ) alors il ne faut pas s’étonner …
Par contre pour les entreprises aucune excuse et les amendes doivent être très lourdes pour être dissuasives !
Ils ne veulent pas payer une prestation facturée pourtant facturée à leur client …
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