Le candidat du Rassemblement national, Christophe Gonzalez, élu maire de Rognac
Le candidat du Rassemblement national, Christophe Gonzalez, est élu maire de Rognac, ce dimanche 24 novembre, lors du second tour des municipales partielles dans cette ville.
Le RN obtient 38,24 % des voix contre 34,65 % des suffrages à la liste emmenée par le candidat divers droite, et ex-adjoint de la sortante, Willy Nicollet. Sylvie Miceli-Houdais (UDI), la maire sortante, plombée par les affaires et l’ouverture d’une enquête judiciaire, obtient 13,84 % des votes exprimés et le quatrième candidat en lice pour ce second tour, Maël Vala-Viaux, 13,09 %.
Commentaires
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L’exemple de Mme Petel a fait école : plutôt l’élection du RN que de dégonfler son ego. Mme Miceli-Machin montre une nouvelle fois qu’aux yeux de la droite, le “barrage républicain” n’a de sens à ses yeux que s’il permet d’écarter la gauche à son profit. Quand ce cas de figure n’existe pas, elle choisit le RN plutôt que le désistement.
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tomber de charybde en scylla.
quelqu’un disait dans un article précédent :
“Je veux dire aux habitants de Rognac : ne vous trompez pas, ce sont les mêmes gens, mais habillés autrement.”
si j’en crois les infos entendues à la radio, environ la moitié des électeurs ont voté, et 38 % d’entre eux ont choisi le fn.
je leur souhaite tout le bonheur possible.
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Maintenir quatre listes à un second tour d’élection est la négation même de la démocratie. Ces gens n’ont aucune culture politique du bien commun. Cette bataille d’egos me donne la nausée.
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La démocratie n’es valable que quand elle met des candidats adoubé par le système, si il est laissé le choix aux électeurs de choisir parmi de nombreuses composantes alors c’est un déni de démocratie. Pour que la démocratie existe et perdure il faut obligatoirement en passer par les sempiternels petits arrangements et tambouille électorale d’arrière cuisine. Vivement 2026 qu’on rigole !
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@Richard Mouren
Avoir quatre listes à un second tour d’élection est au contraire le signe d’une démocratie qui fonctionne. Cela s’appelle le pluralisme.
Ensuite, si les candidats sont incapables de faire des alliances, tant pis pour eux. Et les électeurs ont les candidats (vainqueur ou perdants) qu’ils méritent.
Enfin, auriez-vous la nausée si c’était un candidat LFI qui avait gagné contre trois autres candidats au second tour?
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Quand un électeur sur deux se déplace, et que la première liste empoche la majorité des sièges avec 38 % des voix (soit moins de 20 % de l’électorat), je ne vois pas du tout où est “la démocratie qui fonctionne”. Elle m’apparaît même passablement bloquée.
Le scrutin majoritaire n’est pas le scrutin proportionnel : il incite aux alliances ; ne pas le comprendre n’est pas un signe de pluralisme, mais d’inculture politique ou d’ego survitaminé.
Quant à LFI, cet épouvantail que certains ici brandissent à tout propos, et surtout hors sujet, que vient-elle faire dans ce débat ?
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L’intrusion de LFI dans n’importe quelle discussion politique me rappelle le “Carthage doit être détruite!” dont Caton l’Ancien terminait tous ses discours au Sénat Romain quel qu’en fût le sujet. La démocratie n’est pas pour moi une bagarre ouverte entre egos qui cherchent à prendre ou garder le pouvoir sans proposer aucun programme. Ça, c’est une forme d’anarchie
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@Electeur du 8e ©
@Richard Mouren
Que proposeriez-vous comme mode de scrutin aux municipales pour améliorer le fonctionnement démocratique?
1 point pour vous au sujet de LFI agité comme épouvantail. Pour plus de cohérence, vous serez alors d’accord d’appliquer le même traitement au RN et de faire de ce dernier un non-sujet?
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@SLM La petite musique que vous répandez ici dépolitise tout et va jusqu’à banaliser le RN. Alors non, le RN n’est pas un non-sujet, pour deux raisons au moins : la première, c’est qu’à Rognac c’est le RN qui a gagné l’élection – c’est même le sujet de l’article ! -, tandis que LFI est inexistante ; la seconde, c’est que le programme du RN comme son discours sont dangereux pour la démocratie et pour la paix civile. Il y a un côté ridicule à agiter la peur de LFI qui est très loin de pouvoir prendre le pouvoir en France ; on ne peut pas en dire autant du RN, et inventer une sorte de symétrie entre ces deux tendances politiques n’a pas de sens.
Quant à l’anémie inquiétante de la démocratie française, ses causes ne sauraient être résumées à une simple histoire de mode de scrutin.
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SLM vous avez perdu le fil, et le sujet de l’article : le candidat du rn est élu à rognac.
c’est quand même normal que ce soit “le” sujet !!!
par ailleurs, lfi est considéré par l’ensemble des media comme un épouvantail, certes. le mérite-t-il ? bah ….vu le programme du NF¨P, et celui de l’AEC, on peut comprendre que les media bollore drahi arnaut saade niel, lui tape dessus. les manipulations d’infos et le dénigrement sont monnaies courantes
on peut parler du fn/rn, dédiabolisé par ces mêmes media, qui affiche un record de condamnations accumulées au fil des années, et qui n’a a la démocratie qu’un rapport fort lointain, mais une perversion certaine.
je n’appliquerai jamais le même traitement, étant capable de faire la part des infos, et n’étant pas frappé d’amnésie.
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Je réécris ce que j’ai déjà posté : pour moi RN et LFI sont deux faces d’une même pièce. Ces partis sont populistes, antirépublicains, anti européens, ils prônent le rejet de certaines catégories de la population (qui des immigrés, qui des riches) et favorisent le communautarisme. Ils sont dangereux pour la concorde nationale et la vie publique. Il existe certes quelques individus au sein de leurs rangs qui ne cochent pas toutes ces cases et peuvent susciter une certaine sympathie (encore que, au RN, je ne vois pas) mais cela n’excuse rien.
Je refuse le deux poids deux mesures face aux extrêmes. Aucune complaisance n’a grâce à mes yeux.
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Le rapport avec l’élection de Rognac, où l’on chercherait en vain la moindre trace d’un risque de victoire de LFI ? En revanche, s’il s’agit de parler de LFI pour éviter de parler du RN, c’est fait.
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Et ce ne sont que les hors d’oeuvres vomitifs de l’orgie municipale à venir en mars 2026.
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exactement
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