Carrières de lumières : vers un renvoi en correctionnelle du maire des Baux pour favoritisme
Il y aura donc un volet pénal à l’affaire des carrières de lumières des Baux-de-Provence. Le parquet de Paris a demandé le renvoi en correctionnelle du maire de la petite commune des Alpilles, Michel Fenard et de Bruno Monnier président de Culturespaces, la filiale d’Engie qui gère les Carrières des lumières pour le compte de la commune. Selon Libération qui consacre un long article à cette affaire, le parquet considère qu’il y a lieu de soupçonner un délit de favoritisme dans l’attribution de la gestion de cette institution culturelle, créée en 1975.
La justice avait déjà condamné la mairie à verser 5,8 millions d’euros de dommages et intérêts aux anciens exploitants, évincés en 2008. Même si la commune a fait appel de cette décision, elle a déjà dû payer 1,4 million à titre d’astreinte.
Source : LibérationCommentaires
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Merci pour votre article, le sujet est passionnant !
Juste une question : vous renvoyez au papier de Libération, que votre propre article résume. Mais l’enquête de Libé date du 20 septembre 2018. Est-ce qu’il y a une actualité particulière à ce dossier pour que vous vous y intéressiez le 29 aout 2019, un an plus tard ? L’enquête pénale a-t-elle avancé ?
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Bonjour,
il s’agit d’une erreur de lien, voici l’article du 29 août https://www.liberation.fr/france/2019/08/28/carrieres-de-lumieres-une-pierre-de-taille-dans-la-chaussure-d-engie_1747870
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