“90 à 95 %” des enseignes commerciales seraient irrégulières dans le centre de Marseille

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Bref
le 10 Nov 2021
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“J’ai découvert à mon arrivée que 90 à 95 % des enseignes ne sont pas réglementaires sur Marseille”, raconte Roland Cazzola. Dans La Marseillaise ce mercredi, le conseiller municipal délégué à l’espace public explique avoir engagé “des procédures” pour tenter de mieux encadrer les devantures et, dans un premier temps, de taxer comme des publicités celles qui ne sont pas déclarées.

Le quotidien pointe les “couleurs agressives”, les “publicités lumineuses” et autres “lettres dorées” qui, si elles attirent l’œil, nuisent à l’harmonie des paysages urbains. Elles sont notamment contraires prescriptions de l’aire de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine (AVAP) qui protège le centre-ville.

Source : La Marseillaise
Jean-Marie Leforestier
Journaliste | jm.leforestier@marsactu.fr

Commentaires

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  1. Electeur du 8e © Electeur du 8e ©

    Oui, enfin, bon, on a le droit d’en découvrir tous les jours, mais la violation des règles en matière de devanture commerciale n’est pas un phénomène nouveau. Il a même été parfaitement décrit ici dans une contribution qui remonte à décembre 2013 : https://marseillemissionpossible.wordpress.com/2013/12/05/centre-ville-decrepi-cherche-regles-durbanisme-desesperement/

    Pour le plaisir, notons l’explication de la représentante de la nullicipalité de l’époque quand on lui demandait pourquoi ces règles étaient bafouées sans réaction de la Ville : “c’est difficile”. Quelle réponse originale !

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    • Alceste. Alceste.

      Cher 8e, mais où allez-vous chercher ces informations, impressionnant !

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  2. toine toine

    On comprend mieux pourquoi il n’y a aucune harmonisation des devantures dans la centre ville. Marseille…

    Bref, comment vont-ils réussir à “régulariser” cela?

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  3. Patafanari Patafanari

    Vive les couleurs vives, le doré, la fantaisie, le kitsch, la diversité en quelque sorte( tant vantée par ailleurs). Pourquoi réglementer les enseignes et les obliger à se conformer à une police de couleurs et de tailles (petit lettrage, nuances d’ocres soit-disant de tradition provençale) sur des immeubles généralement de qualité médiocre.
    On vante les tags illégaux, immondes, qui défigurent la ville, comme l’expression d’un art populaire et spontané et on traque le commerçant inventif parce que c’est un salaud qui veut gagner sa vie.

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  4. vékiya vékiya

    je veux bien participer à leur dépose si besoin

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  5. TINO TINO

    s’il n’y avait que les enseignes qui soient irrégulières dans le centre ville commercial !!!!

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  6. Fabien Huet Fabien Huet

    Moi je trouve ça joli les couleurs dans la ville. Ça égaye le quotidien. J’espère que c’est pas une des priorités de M Cazzola.

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