Avis de sale temps pour Paca

Ce soir en tout début de soirée à 19h57, France 5 diffusera un reportage sur les changements climatiques en Paca dans le cadre d’une série documentaire intitulée Sale temps pour la planète. Cette collection permet de découvrir des régions du monde  soumises aux mêmes contraintes dues au changement climatique et va à la rencontre de ceux qui subissent les effets dévastateurs du réchauffement de la terre. Après les Antilles, le Sénégal ou encore la Chine, c’est au tour de notre région de passer sous la caméra de  Morad Aït-Habbouche et Hervé Corbière. Ce dernier épisode de la série, Paca l’envers du décor décrit la possibilité de disparition de tout un patrimoine naturel et culturel  régional, sous de multiples menaces.  Entre la montée des eaux, la fonte des glaciers, les canicules estivales, les incendies récurrents, l’apparition de maladies tropicales ou encore les diverses pollutions, ce documentaire a de quoi faire froid dans le dos.

Il suffit de regarder le synopsis pour s’en convaincre: « Chaque année, des milliers de touristes viennent en France pour profiter des plages ou des pistes enneigées. En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’industrie touristique a su miser sur la mer Méditerranée et les Alpes. Pourtant, si les températures continuent de monter, cette manne pourrait bien disparaître. Au coeur du delta du Rhône, les côtes de Camargue subissent une forte érosion maritime. Les pouvoirs publics dépensent des fortunes pour endiguer les zones habitées. Les basses terres, elles, commencent à subir la hausse du niveau de la mer, ce qui entraîne la salinisation des sols sur plus de 10% du territoire. Au-delà de ce constat alarmant, le réchauffement climatique menace la région de façon plus inattendue.« 

En attendant de pouvoir visionner  Paca, l’envers du décor, regardez un extrait d’un épisode précédent de la série concernant le Sénégal.

Voir la fiche technique de l’épisode sur le site de France 5

Pour aller plus loin ,La région Paca tente de préserver sa biodiversité à lire sur les Echos