Au 11 rue d’Aubagne, les locataires vivent dans l’inquiétude et sous les étais
Au 11 rue d’Aubagne, le bailleur social Marseille Habitat loue le pas de porte à l’épicerie fine L’Idéale. Dans le reste de l’immeuble, les locataires vivent avec des étais à tous les étages. Dans les combles, un studio penché donne parfois l’impression d’embarquer dans un bateau. Son habitante devrait déménager bientôt, rien n’est moins sûr pour les autres.
Au 11 rue d’Aubagne, les locataires vivent dans l’inquiétude et sous les étais
Myriam Léon
Commentaires
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Vous devriez prendre des fiches de signalement DDTM lors de vos visites et encourager les locataires à signaler leurs désordres au PDLHI, non ?
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Certains articles passés de Marsactu se sont révélés, a posteriori, prémonitoires d’une catastrophe. Espérons qu’il n’en sera pas ainsi de celui-ci.
Notons aussi cette “tradition” marseillaise du paraître : un immeuble “coquet” à l’extérieur, mais en ruine à l’intérieur. Comme si la peinture de la façade pouvait assurer la solidité de l’ensemble.
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Quelles peuvent être les conséquences d’un tassement des planchers ? Sous les tommettes on a du mortier, ce mortier se tasse, c’est bien ça ? Il peut entraîner des fissures sur les cloisons mais quid de l’ensemble murs porteurs/planchers ?
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Une fente qui s’élargit d’un millimètre en un mois cela peut faire une fente qui s’élargit d’un centimètre en un an et de 10 centimètres en 10 ans mais tout s’écroule bien avant avec son lot de morts et de blessès, de sans logis, etc.
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Contente de voir que le Directeur Général de Marseille Habitat se déplace chez une simple locataire, même s’il s’agit de C Gil, également DG d’Habitat Marseille Provence , coutumier du fait , puisqu’il s’était rendu ds la cité du Petit Séminaire pour annoncer brutalement et en plein air, que la cité devait être détruite. Arrogant et méprisant.
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