Reportage aux Oliviers A : le nouveau préfet s’engage !

Billet de blog
le 10 Déc 2025
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Les journalistes autour du préfet dans la cité des Oliviers A. (Photo : CMB)
Les journalistes autour du préfet dans la cité des Oliviers A. (Photo : CMB)

Les journalistes autour du préfet dans la cité des Oliviers A. (Photo : CMB)

Stage de 3ème : Jour 2

J’ai commencé ma deuxième journée chez Marsactu à 9 h 25, j’ai repris mes marques, puis on a commencé la réunion à 9 h 30. Cette fois-ci, la réunion était beaucoup plus courte, elle a fini à 9 h 53. Cette fois-ci, on a plus parlé du planning, des répartitions des sujets d’articles et des brèves.

Quand la réunion était finie, j’ai aidé l’équipe avec leur nouveau livre Marseille sous emprise. J’ai d’abord déballé les livres de leurs cartons, puis enlevé leur plastique et je les ai rangés en pile de six tout au long de la table. Après, j’ai fait des piles de dix en mettant des marque-pages dans les livres et, pour finir, j’ai mis chaque livre dans une enveloppe avec une lettre.

À 12 heures, je suis parti chercher à manger avec Clara dans un restaurant à côté, puis je suis retourné dans les bureaux et j’ai mangé devant ma série.

À 13 h 10, je suis allé dans les quartiers Nord avec Clara pour voir le préfet pilonner un spot de deal aux Oliviers A. On a pris le bus 33 à Canebière-Bourse, on est descendus près de Sainte-Marthe, on a rejoint plein d’autres journalistes, j’ai testé l’appareil photo, puis on est montés dans la voiture d’une journaliste du Figaro. On arrive au quartier des Oliviers A. Le nouveau préfet Jacques Witkowski a été envoyé par le ministre de l’Intérieur pour lutter contre le narcotrafic. J’ai retenu très peu de ce qu’a dit le préfet, mais j’ai retenu quand même quelques passages que j’ai notés. Il a dit vouloir “essayer de reprendre le terrain”. Il a dit aussi que “ce n’est pas le retour du pilonnage” (mais il n’a pas su nous dire la différence, à mon humble avis).

Et puis sa collègue Corinne Simon, déléguée à la police, a parlé. J’en ai profité pour prendre des photos des lieux, puis on a parlé avec un groupe d’habitants. On leur a demandé si les apparitions des policiers était fréquentes. Ils nous ont répondu : “Oui, mais pas avec autant de monde.” Ils nous ont aussi dit que des policiers viennent aussi le soir. On a fait un petit tour du quartier à l’intérieur d’un immeuble. J’ai trouvé le bâtiment un peu mal entretenu, il y avait des tags, etc. À l’extérieur, il y avait un peu de déchets, on a trouvé des poules et un chat aussi. Et on est repartis au bureau, j’ai croisé mon professeur d’arabe au passage, et ma journée s’est finie en écrivant cet article.

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