Mon arrivée dans les locaux de Marsactu

Une partie des bureaux de la rédaction de Marsactu. (Photo : Ava Guidarini)

C’est alors qu’arriva la fameuse semaine de stage en entreprise tant attendue.

J’arrive sur le Vieux-Port. Il doit être 9h15.  Le fin rayon du soleil réchauffe la fraîche atmosphère du matin. Aujourd’hui est un jour un peu particulier puisque je ne me rends pas au collège comme habituellement. Je suis attendue dans les locaux de Marsactu pour effectuer une semaine de stage.

9h25, je croise Coralie dans les escaliers de l’immeuble de la rue Euthymènes, avec qui je fais connaissance ainsi qu’avec Benoît en arrivant. En attendant chaque membre de la rédaction, Benoît me donne rapidement quelques explications afin que je puisse m’installer. Petit à petit, j’ai pu rencontrer les journalistes qui sont arrivés.

Lorsque l’équipe est au complet, la conférence de rédaction débute. Elle va servir à planifier et à organiser les différents projets prévus dans la semaine. J’ai alors pu assister aux débats à propos de plusieurs sujets pour déterminer les articles traités dans la semaine. C’était très intéressant de voir que, sur certains sujets, les opinions divergent. Pendant près d’une heure, chacun apporte des informations récoltées dans le week-end. Par la suite, chacun rejoint son poste et commence à rédiger. J’ai regardé la création d’une actu en brève par Coralie par le biais du back office sur une manifestation de la veille à la Busserine.

C’est à partir de là que les complications sont arrivées. Je n’avais pas d’adresse mail pour accéder au back office et rédiger ce billet de blog.

“Tu m’entends?”    “Oui, je t’écoute !”    “Le code fonctionne ?”    ” Attends, viens on refait.”

Après maints échanges avec ma mère par téléphone, je suis enfin parvenue à l’interface !

À 13 heures, nous avons fait une pause pour déjeuner et discuter des actus. J’ai parlé avec Marie et Alicia de leur parcours et leur fonction à Marsactu. Puis, après le repas, la serrure de la porte d’entrée se montre soudain défaillante, à tel point qu’on ne pouvait entrer dans les bureaux seulement si quelqu’un nous ouvrait de l’intérieur. Bref, Benoît a donc fini par appeler un serrurier pour la réparer.

À présent, il est 16h10 et je suis en train de rédiger le billet de blog que vous lisez actuellement.

J’ai hâte d’être à demain pour découvrir de nouvelles choses dans ce domaine et cet univers que je connais très peu finalement.