À Saint-Victoret, des travaux qui se font tout seuls embarrassent la métropole
Les travaux d'une aire de jeux de Saint-Victoret ont été facturés à la métropole alors même qu'ils ne relevaient pas de sa compétence. Celle-ci a refusé de payer. Plusieurs acteurs pointent une pratique régulière facilitée par l'enchevêtrement complexe des compétences entre les différentes institutions.
Le parc de Lodi, son avion, son train et son revêtement que personne n'a commandé et que personne ne veut payer. Photo : JML.
Commentaires
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Encore un exemple emblématique de la pétaudière qui règne dans ce territoire, où chacun tire à hue et à dia, où quasiment rien n’est contrôlé (merci au comptable scrupuleux). Le fin mot de l’histoire étant “ce n’est pas le première fois que les communes essaient de nous tondre la laine sur le dos!). Bienvenue au paradis de la fiesta financière et des politiques intègres. Et çà doit changer avec Vassal? Vous m’autoriserez un sourire.
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Heureusement qu’il ne s’agissait pas d’une rocade ou d’une voie “rapide” !
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La Préfecture des Bouches-du-Rhône organise une “concertation en ligne” sur l’avenir de la métropole Aix-Marseille, ouverte à tous. Chacun peut dire quel périmètre géographique lui semble le plus pertinent (faut-il intégrer l’ouest du département ?), mais aussi quelles compétences lui paraissent devoir appartenir à la métropole.
Pour celles et ceux qui souhaitent lui transférer la gestion des aires de jeux pour enfants – et pourquoi pas des boulodromes ! -, c’est ici : http://paca.questionnaire.interieur.gouv.fr/index.php/531694
On peut aussi plaider pour un peu de clarification et moins “d’enchevêtrement”…
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Je ne comprends pas : pour avoir travailler dans le bâtiment, et notamment le BTP durant de longues années, il a bien fallu que l’entreprise reçoive une commande, et 30% du paiement avant même de les commencer ces travaux !
Aucune entreprise ne se lancerait sans commande et acompte, surtout dans le BTP où les donneurs d’ordre payent avec une élastique.
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Il est constaté par tous ceux qui se frottent à la gestion publique qu’il est légitime de se demander s’il y a encore un pilote dans l’avion !
Transferts de compétences incessants = incompétence généralisée et institutionnalisée .
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Il convient tout de même de rappeler à tous les contribuables, bien légitimement attérés, que la fine équipe qui nous a inclu, de force, dans la grooossse métropole, ne nous a jamais promis qu’il y aurait un pilote dans l’avion. Ils se sont contentés de nous seriner que l’avion étant plus gros que ceux de la flottille réunis, y’aurait des économies faites sur les équipages, et que ça couterait donc moins cher (promesses de gascons!).
De même que pour simplifier le ” milles feuilles” (délire unanime de nos éditocrates de l’époque, aujourd’hui bien soigné) ils ne s’étaient point engagés à retirer des feuilles. Il semble bien qu’ils se soient contentés d’aplatir la chose, ce que fréquemment je me suis permis de redouter, et ainsi de se simplifier la “simplification”; ça va pas tarder à se faire savoir!
Ici par une bienveillance marquée du l’élu d’une feuille, par ailleurs fonctionnaire de l’autre, dans une chaleureuse proximité fonctionnelle, pour le confort des marmots de sa commune. Et tant pis pour l’entrepreneur couillonné qui comprend qu’il faut mieux ne pas moufter, sauf à insulter l’avenir.
Bon, espérons que Gaudin en prendra de la graine. Le téléphérique là, ça pourrait le faire, non? Et sinon, à quoi elle peut bien servir cette foutu métropole?
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je serais curieux de savoir comment l’entreprise en question à comptabilisé cette perte…. elle ne peut pas l’avoir passé en pertes exceptionnelles car non provisionnable…sinon, c’est un don, mais je doute que cela puisse etre déduit de l’assiette de son IS… alors, elle paie deux fois: une première au titre des pertes et la deuxieme à hauteur de 35% au titre de l’impot….Mais ca devrait finir par s’arranger entre amis en lissant la perte sur d’autres marchés.
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