À Marseille, les victimes des marchands de sommeil luttent pour être régularisées
Pour les encourager à porter plainte, la loi permet depuis 2024 aux victimes de marchands de sommeil en situation irrégulière d’obtenir un titre de séjour provisoire. À Marseille, plus d’un an après son entrée en vigueur, cette mesure n’est toujours pas appliquée, comme l'a constaté notre partenaire Mediapart.
Un hôtel taudis de la rue du Musée, à Noailles. (Photo : BG)
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Commentaires
0 commentaire(s)
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.