À l’école de la Castellane, la Ville tente de déblayer un chantier à l’arrêt
Le groupe scolaire neuf devrait déjà être livré depuis la rentrée de septembre, mais les travaux ont à peine démarré, en 2023. De guerre lasse, la mairie de Marseille a cessé d'attendre le redémarrage du chantier et repris la main : le contrat avec le constructeur initial est rompu et elle met un coup de propre avant de lui trouver un successeur.
Élus et techniciens présentent la suite des opérations, sur le site laissé en l'état par l'entreprise Impresa Percassi. (Photo : J.V.)
Commentaires
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Le Président Macron a posé la première pierre. On pouvait se douter de la suite.
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“… sans craindre de prendre le bilan de Jean-Claude Gaudin en retour” : eh oui, c’est même à ça qu’on la reconnaît, la droite locale.
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Je trouve cet article particulièrement confus.
« Réalisée aux frais de la Ville, sur ce chantier théoriquement piloté par la société publique des écoles marseillaises (Spem) »
La SPEM pilote ou pas ?
« Tout “aussi agacée” que les parents d’élèves, [Samia Ghali] assure que la municipalité a “tout essayé, mais on ne pouvait pas forcer l’entreprise à reprendre les travaux” »
“Il y a eu des analyses juridiques, poursuit Pierre-Marie Ganozzi. Si on avait résilié en novembre, on l’aurait payé très cher. Aujourd’hui, l’intérêt général à résilier est au-delà de tout.” »
L’entreprise ne veut pas faire les travaux du contrat mais le maitre d’ouvrage doit payer !
« La résiliation ne sera sans doute pas sans frais pour la Ville. Le 19 mars, le tribunal administratif a accepté la nomination d’un expert, demandée par l’entreprise Impresa Percassi, qui “fait valoir que le groupement a réalisé des travaux et a engagé des frais en exécution du marché”. “Qu’aurait-on dit si on ne l’avait pas fait parce qu’on risquait un contentieux ? À un moment, il faut penser à l’humain”, défend Samia Ghali. »
Quel contentieux risquait la SPEM ?
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Et on aimerait connaître les explications données par cette société italienne.
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Chi va piano, va sano
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On ne peut que se réjouir de voir enfin la Ville reprendre la main sur ce chantier enlisé, mais une question demeure en suspens : pourquoi une entreprise comme Impresa Percassi, pourtant structurée et expérimentée, a-t-elle abandonné un marché d’une telle envergure, quitte à engager un contentieux ?
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