À un an des législatives, quelques candidats et des incertitudes

Décryptage
le 29 Juin 2016
2

À un an des législatives, les forces politiques se mettent en ordre de marche. Petite revue non exhaustive des principaux enjeux déjà sur la table.

À un an des législatives, quelques candidats et des incertitudes
À un an des législatives, quelques candidats et des incertitudes

À un an des législatives, quelques candidats et des incertitudes

L’inversion du calendrier date mais l’argument porte toujours. Calées dans la logique du quinquennat un mois et demi après la présidentielle, les législatives sont marquées par les enjeux nationaux et le chef de l’État désigné. La campagne laisse donc peu de marge aux élus locaux – les Bouches-du-Rhône ne comptent pas (pour l’heure) de personnalités politiques d’envergure nationale, hormis peut-être Jean-Claude Gaudin. Cela n’empêche pas les élus de tout bord de se préparer pour l’échéance des 11 et 18 juin 2017. Deux contraintes importantes se présentent. Tout d’abord, la règle sur le non-cumul des mandats s’appliquera à cette date avec les fonctions exécutives locales (maire ou adjoint, maire de secteur, président ou ...
Vous voulez lire la suite ?
Abonnez-vous à Marsactu

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. Sanmartin Sanmartin

    N’oubliez pas qu’il n’y a pas que les LR et l’UDI à Droite et au Centre : il y aussi le Modem, à titre d’exemple j’ai déclaré ma candidature dans la 8ème circonscription dès le mois de Mai 2016.
    Cordialement
    Philippe Sanmartin

    Signaler
  2. Electeur du 8e © Electeur du 8e ©

    Le renouveau et le rajeunissement du personnel politique sont en marche, quand on voit un jeune homme de 72 ans comme Di Nocera, aux convictions si solides qu’il a collectionné les étiquettes politiques durant sa vie, vouloir se présenter. Ou un Mallié, dont la hauteur de vue ne dépasse pas l’altitude d’une plaque d’immatriculation, vouloir revenir à 68 ans après avoir été battu.

    Tout cela n’a, en réalité, que peu d’importance : si l’essentiel n’est pas le trombinoscope, mais plutôt les idées, les institutions de la Vème République partagent bien les rôles. Au candidat à l’élection présidentielle le soin de “s’engager” sur un programme, aux parlementaires de la majorité le soin de ne pas se tromper de bouton au moment du vote des lois proposées par le gouvernement. Inutile donc de rechercher des “personnalités politiques d’envergure nationale” pour le job de député…

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire