Au tribunal, Marseille Habitat face au “loupé” du 63 rue d’Aubagne
Ce jeudi, le procès des effondrements de la rue d'Aubagne s'est attardé sur le numéro 63, propriété de Marseille Habitat. Certains travaux réalisés sont susceptibles d'avoir aggravé la situation.
Christian Gil, ex-directeur général de Marseille Habitat, devant Arlette Fructus et Julien Ruas. (Dessin : Ben 8)
Commentaires
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Incompétences, légèreté, jem’enfoutisme. A la tchatche, à la confiance, a la louche. A la marseillaise…
L’administration Gaudin dans son entièreté.
Comme ça doit perdurer, on imagine les difficultés à manager actuellement. Difficile de changer tous ces dysfonctionnements.
Seulement voilà, il y a 8 morts. Auront ils seulement un poids ?
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A la lecture de l’article on a l’impression que tout a été fait pour laisser le batiment s’effondrer tout seul , démolition à moindre coup, pas de formalités administratives, pas d’avis de l’ABF …
Ne pas commencer par investiguer la cave, ignorer le rôle des cloisons dans ce type de construction, ne laisser aucun rapport de visite , ne serai ce que pour se “couvrir” ce comportement va au delà de l’incompétence
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