Procès du drame de la rue d’Aubagne : “Notre mère, c’est la seule richesse qu’on avait”
Les enfants d'Ouloume Saïd-Hassani, dont El-Amine qui avait huit ans au moment de la catastrophe, sont venus éclairer le parcours de cette mère de famille. Ils ont raconté une vie précaire, dans un logement dégradé, mais une cellule familiale heureuse. Désormais anéantie.
Le fils d'Ouloume Saïd-Hassani. (Illustration : Ben 8)
Commentaires
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Honte à ces exploiteurs. Que la Justice se montre implacable.
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Je lis avec émotion les articles qui rendent compte de ce procès, et j’en remercie Marsactu.
J’ai une pensée particulière pour El Amine, dont l’enfance, l’adolescence et peut-être l’avenir professionnel ont été volés par des propriétaires sans scrupule, qui pensent que les parties communes d’un immeuble n’ont pas besoin d’entretien, voire de travaux, ne paient pas leurs charges, ne participent pas aux assemblées générales et n’existent que pour encaisser des loyers.
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toutes ces vies brisées par des propriétaires escrocs, et des institutions qui détournent les yeux, inhumains.
c’est insupportable.
on partage évidemment avec empathie toute cette émotion…mais ce qu’on a envie de partager par dessus tout, c’est une justice “juste” qui doit faire son travail, et une détermination sans faille pour que cela ne se reproduise pas !
et ça, c’est pas gagné.
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Un sincère immense merci à toute la rédaction pour ce travail depuis toujours sur l’habitat insalubre à Marseille. Rendre dignité à ces familles aux destins brisés par des privilégiés proprio ou élu sans foi ni loi. Ces récits sont tout simplement insupportables.
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