Des fuites de gaz fluorés, ombre au tableau du développement exponentiel des data centers
L’entreprise Digital Realty, qui possède quatre data centers à Marseille et s’apprête à en construire un cinquième, vient de célébrer ses dix ans de présence dans la ville. La préfecture a toutefois épinglé, l’an dernier, le gestionnaire de données numériques pour des rejets de gaz à effet de serre bien au-delà des normes.
Le data center MRS3 d'Interxion (désormais Digital Realty) était une base de sous-marins, dans l'enceinte du port. (Photo DR)
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En dehors des conséquences sur la consommation d’électricité, il serait intéressant de connaitre le nombre d’emplois à l’hectare et de le comparer à d’autres industries qui auraient sans doute pu s’installer sur ces sites si on croyait encore à un avenir industriel pour Marseille.
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Ce qui est absolument dramatique avec les fuites de gaz HFC c’est que leur pouvoir de réchauffement global est de 100 à 15 000 fois supérieur à celui du CO2 sur une période de référence de 100 ans.
Ils sont donc bien plus nocifs pour le climat que le “simple” CO2.
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