Demandeurs d’asile à la rue, l’incompréhension, la fatigue et la peur
En raison de restrictions budgétaires, de moins en moins de demandeurs d'asile peuvent avoir accès à l'hébergement d'urgence dans le département. Depuis plusieurs semaines, des familles doivent quitter les chambres d'hôtel qu'elles occupaient jusque-là, sans autre option que de dormir à la rue. Nous avons rencontré certaines lors d'une permanence associative.
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Je pleure, sans savoir si c’est du sort de ces gens davantage que de ma honte.
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Les bidonvilles que l’on croyait disparus fleurissent dans les lieux les plus sordides et dangereux de Marseille. La misère est présente dans de nombreux quartiers, nous sommes impuissants, nos impôts doivent servir å aider les plus faibles. L’Europe doit trouver une solution, que font nos députés européens, les subventions allouées aux réfugiés ne doivent-elles pas leur permettre de vivre décemment ? Il est temps d’obtenir des comptes sur l’utilisation de nos deniers. Les crédits sont là, pourquoi ne
sont-ils pas versés aux bénéficiaires. On n’a pas å se culpabiliser mais il est temps que les responsables et les coupables de telles maltraitances soient dénoncés. Nous n’avons pas å supporter cette cohabitation que les élus ont laissé perdurer.
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