À Saint-Victoret, la colère à forte dosimétrie des précaires du nucléaire
Pendant deux semaines, la trentaine d'agents de maintenance de l'entreprise Weir de Saint-Victoret, spécialisée dans la conception et la fabrication des soupapes de sécurité pour l'industrie nucléaire, était en grève. La maintenance de sept centrales françaises était à l'arrêt. Une sortie de crise se dessine à présent, alors que les salariés reprennent le travail.
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Scandaleux que des métiers aussi dangereux et avec des responsabilités quand même non négligeables soient si peu rémunérés et toujours précaires!
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