Un ancien webmestre du Printemps marseillais derrière le site parodique Rubirola2026
Michèle Rubirola lors de sa déclaration officialisant sa démission. Photo : Emilio Guzman.
C’était donc un ancien du Printemps. Dans son édition du jour, La Provence révèle qu’un ancien webmestre de la campagne de Michèle Rubirola est à l’origine du site parodique Rubirola2026 qui avait provoqué un beau tollé lors du conseil municipal du 15 décembre dernier. L’opposition y célébrait à sa façon l’anniversaire du switch entre l’ancienne maire et son premier adjoint. Et, au même moment, un site parodique reprenait les codes de la campagne de 2020 pour une improbable candidature en 2026.
L’auteur du canular, “Rubirola est (re] là”, s’appelle Benoît et il est passé en procès devant le tribunal judiciaire, le 31 janvier dernier, en référé pour mettre fin à toute activité liée à ce site. “Le but de mon client était de pouvoir parler de façon satirique d’un évènement qui a marqué l’histoire de Marseille rien de plus“, déclare son avocat Arnaud Chavalarias, à la Provence. Le quotidien révèle par ailleurs que l’auteur du site est un ami d’enfance de Christophe Pierrel, ancien directeur de cabinet de Michèle Rubirola, parti avec fracas de l’Hôtel de ville. Interrogé par La Provence, celui-ci se dit étranger à l’affaire.
Source : La ProvenceCommentaires
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L’ennemi vient de l’intérieur. C’est encore plus savoureux. Et dire qu’on avait prêté cela à l’opposition !!
Cette nunicipalite est décidément inénarrable
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“En France , le ridicule ne tue pas .On en vit ” disait Henri Jeanson. Cet adage est une fois de plus bien vérifié avec cette mairie.
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On s’en doutait un peu, cette parodie était assez ratée.
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La fin est excellente !
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Elle l’est, j’avoue. Malheureusement elle est surtout représentative de la médiocrité de tous ces gens qui prétendent diriger nos institutions car le geste, fut-il drôle, manque de hauteur et de dignité.
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