Demandeurs d’asile : l’État officialise un squat emblématique de ses manquements
Ce jeudi 13 octobre, le préfet à l'égalité des chances Laurent Carrié s'est rendu au squat conventionné de la rue Saint-Bazile aux Réformés. Il a reconnu l'initiative comme une solution reproductible pour l'hébergement des demandeurs d'asile. Les associations impliquées n'ont pas manqué de rappeler les responsabilités de l'État à ce sujet.
Le préfet à l'égalité des chances Laurent Carrié avec les résidents du centre d'hébergement autogéré pour demandeurs d'asile des Réformés. Photo : PID.
Commentaires
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Mitigé, entre le plaisir de voir un lieu autogéré s’officialiser (donc les services publics reconnaissent leurs manquements et acceptent un modèle alternatif et un mode de gestion peu habituel) et la crainte de voir ce genre d’initiative servir de prétexte à un désengagement encore plus profond de ces services publics: l’hébergement des demandeurs d’asile n’a pas à dépendre de leur auto-organisation et de la solidarité directe, on paie des impôts pour ça…
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En tout cas, en terme de tranquillité publique, bien que branché sur ces questions-là, et très voisin du lieu, je ne m’étais rendu compte de rien !
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“On mène une vieille active.”
C’est qui, la vieille ?…
Pis d’abord, on dit une personne âgée ! 😉
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Merci d’avoir pointé cette boulette… C’est corrigé.
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Merci d’avoir pointé cette boulette… C’est corrigé !
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à multiplier sur les centaines de sites de l’EPF conservés vides et aux gardiens payés grassement pendant des années, sur toute la région, et que l’état pourrait facilement réquisitionner pour loger les plus précaires pendant des durées d’un à deux ans, mais bon, faudrait avoir la volonté d’éradiquer la misère…
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