L’affaire des travailleuses exploitées du restau de la Bonne Mère devant la justice
Elles travaillaient dans le restaurant de Notre-Dame-de-la-Garde, L’Eau vive, dans des conditions proches de l’esclavage avec des journées qui débutaient à 5 h 30 du matin et finissaient après le dernier service du soir, des salaires de misère, des vacances inexistantes… Plusieurs de ces “travailleuses missionnaires de l’Immaculée”, un ordre de l’Église catholique, ont fini par s’enfuir et porter plainte : ce mardi 5 juillet, l’association Famille missionaire donum dei qui les exploitait comparaîtra devant le tribunal correctionnel d’Épinal (Vosges) car d’autres sites de pèlerinage sont concernés, comme l’annonce La Provence dans son édition du jour.
La structure et sa responsable devront répondre des chefs d’exécution de travail dissimulé et emploi d’un étranger non muni d’une autorisation de travail salarié. En 2014, Marsactu révélait plusieurs témoignages de ces femmes venues pour la plupart d’Asie et d’Afrique.
Source : La ProvenceCommentaires
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“Il est grand le mystère de la foi…” Les cathos reconnaîtront la chanson 😆
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